Face à la redoutable équipe espagnole, chez elle à Madrid, l’équipe de France a tout intérêt à ramener un résultat positif pour éviter l...
Face
à la redoutable équipe espagnole, chez elle à Madrid, l’équipe de
France a tout intérêt à ramener un résultat positif pour éviter les
barrages de qualification pour la Coupe du Monde 2014. En effet, les
autres équipes présentes dans la poule –Finlande, Géorgie, Biélorussie-
ne semblent pas assez armées pour jouer les deux premières places...
Mais la tâche s’annonce rude face à une équipe en confiance et à
domicile.
Opposés à une équipe espagnole qui vient de s’imposer facilement 4-1 en Biélorussie, les Français se retrouvent face à un casse-tête tactique. Faudra-t-il muscler le jeu pour casser le rythme de la Roja, toujours à l’aise quand elle pratique le toque, ce style qui consiste à conserver la balle à tout prix ? Si oui, en jouant bas, en limitant les espaces pour gêner les transmissions espagnoles et en misant sur la vitesse de Benzema, Menez ou Ribéry, comme les Suisses l'avaient fait (1-0) lors du premier match de poules espagnol en 2010 ? Ou faudra-t-il presser très haut comme le Real Madrid contre le Barça, quitte à craquer physiquement ?
Tout pour le physique ?
Ce qui est certain, c’est que les Bleus sont diminués au milieu de terrain, un secteur qui est précisément le point fort de cette équipe espagnole au grand complet avec ses Busquets, Fabregas, Xavi, Xabi Alonso ou encore Iniesta… Du côté français, le brillant mais fragile milieu d’Arsenal, Abou Diaby, a rechuté tout comme l’ancien du Real Madrid Lassana Diarra, la sentinelle de Lille Rio Mavuba vient de passer sur le billard et le solide Breton de Malaga Jérémy Toulalan, pourtant régulier en Liga, semble banni de l’équipe de France depuis le fiasco du Mondial 2010.
Au final, ce sont les assez peu expérimentés Moussa Sissoko et Etienne Capoue (Toulouse), voire le Lyonnais Maxime Gonalons (21 matchs de Ligue des Champions au compteur) ou le Parisien Blaise Matuidi (22 sélections à eux quatre) qui devraient se partager les deux places aux côtés de l’incontestable milieu relayeur de Newcastle Yohan Cabaye. Ce manque de repères au "cœur du jeu" va-t-il être fatal à l’équipe de France ? MSN fait le point sur les forces et les faiblesses des protégés de Didier Deschamps.
Opposés à une équipe espagnole qui vient de s’imposer facilement 4-1 en Biélorussie, les Français se retrouvent face à un casse-tête tactique. Faudra-t-il muscler le jeu pour casser le rythme de la Roja, toujours à l’aise quand elle pratique le toque, ce style qui consiste à conserver la balle à tout prix ? Si oui, en jouant bas, en limitant les espaces pour gêner les transmissions espagnoles et en misant sur la vitesse de Benzema, Menez ou Ribéry, comme les Suisses l'avaient fait (1-0) lors du premier match de poules espagnol en 2010 ? Ou faudra-t-il presser très haut comme le Real Madrid contre le Barça, quitte à craquer physiquement ?
Tout pour le physique ?
Ce qui est certain, c’est que les Bleus sont diminués au milieu de terrain, un secteur qui est précisément le point fort de cette équipe espagnole au grand complet avec ses Busquets, Fabregas, Xavi, Xabi Alonso ou encore Iniesta… Du côté français, le brillant mais fragile milieu d’Arsenal, Abou Diaby, a rechuté tout comme l’ancien du Real Madrid Lassana Diarra, la sentinelle de Lille Rio Mavuba vient de passer sur le billard et le solide Breton de Malaga Jérémy Toulalan, pourtant régulier en Liga, semble banni de l’équipe de France depuis le fiasco du Mondial 2010.
Au final, ce sont les assez peu expérimentés Moussa Sissoko et Etienne Capoue (Toulouse), voire le Lyonnais Maxime Gonalons (21 matchs de Ligue des Champions au compteur) ou le Parisien Blaise Matuidi (22 sélections à eux quatre) qui devraient se partager les deux places aux côtés de l’incontestable milieu relayeur de Newcastle Yohan Cabaye. Ce manque de repères au "cœur du jeu" va-t-il être fatal à l’équipe de France ? MSN fait le point sur les forces et les faiblesses des protégés de Didier Deschamps.
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