Photo illustration tananews.com Alors que le chef historique des voleurs de zébu est traqué depuis de longues semaines, dan...
Photo illustration tananews.com
Alors que le chef historique des voleurs de zébu est traqué depuis
de longues semaines, dans son fief du district de Betroka (Fort
Dauphin) par des unités d'élite des forces spéciales malgaches, la
cavale de Remenabila, déclaré ennemi public n° 1 par les autorités de la
Grande Ile, semble toucher à sa fin.
Terré avec ses fidèles lieutenants et une cohorte de partisans puissamment armés acquis à sa cause, dans une brousse boisée hostile, Remenabila s'est joué jusqu'ici de l'armada militaire venue le capturer, en se fondant dans un territoire difficile d'accès, dont il connait les moindres recoins.
Des éléments de la force d'intervention ont lancé l'assaut, dans une forêt non loin de Betroka. Les militaires d'élite ont été accueillis par un feu nourri d'armes automatiques.
Devant battre en retraite devant l'opposition acharnée des rebelles mafieux, les troupes d'élite ont délaissé leurs positions, pour y revenir plus tard avec des moyens plus importants, dont un hélicoptère qui leur a donné un avantage considérable sur le terrain.
Violente confrontation entre dahalo et force d'intervention
Une cinquantaine de dahalo ont été tués et on comptabilise de nombreux blessés dans le rang des voleurs de zébu, lors de cette opération coup de poing contre la cachette de Remenabila.
La presse locale est en effervescence et annonce selon certaines sources que Remenabila aurait été blessé ce week-end, au cours de cette violente confrontation entre dahalo et force d'intervention aux alentours de Betroka.
La gendarmerie ne confirme, ni infirme le scénario
Côté officiel la hiérarchie de la gendarmerie ne confirme, ni infirme le scénario évoqué par des sources sur place et relayées par lexpressmada.com. Mais se félicite que les dahalo sont désormais de l'histoire ancienne.
Le vol de zébus trouve son origine dans des coutumes ancestrales véhiculées depuis des générations sur la Grande Ile. Symbole de virilité avant le mariage, des bandes organisées l'ont vidé de son sens premier, pour en tirer un juteux trafic en direction de Tananarive.
Source : Indian Ocean Times
Terré avec ses fidèles lieutenants et une cohorte de partisans puissamment armés acquis à sa cause, dans une brousse boisée hostile, Remenabila s'est joué jusqu'ici de l'armada militaire venue le capturer, en se fondant dans un territoire difficile d'accès, dont il connait les moindres recoins.
Des éléments de la force d'intervention ont lancé l'assaut, dans une forêt non loin de Betroka. Les militaires d'élite ont été accueillis par un feu nourri d'armes automatiques.
Devant battre en retraite devant l'opposition acharnée des rebelles mafieux, les troupes d'élite ont délaissé leurs positions, pour y revenir plus tard avec des moyens plus importants, dont un hélicoptère qui leur a donné un avantage considérable sur le terrain.
Violente confrontation entre dahalo et force d'intervention
Une cinquantaine de dahalo ont été tués et on comptabilise de nombreux blessés dans le rang des voleurs de zébu, lors de cette opération coup de poing contre la cachette de Remenabila.
La presse locale est en effervescence et annonce selon certaines sources que Remenabila aurait été blessé ce week-end, au cours de cette violente confrontation entre dahalo et force d'intervention aux alentours de Betroka.
La gendarmerie ne confirme, ni infirme le scénario
Côté officiel la hiérarchie de la gendarmerie ne confirme, ni infirme le scénario évoqué par des sources sur place et relayées par lexpressmada.com. Mais se félicite que les dahalo sont désormais de l'histoire ancienne.
Le vol de zébus trouve son origine dans des coutumes ancestrales véhiculées depuis des générations sur la Grande Ile. Symbole de virilité avant le mariage, des bandes organisées l'ont vidé de son sens premier, pour en tirer un juteux trafic en direction de Tananarive.
Source : Indian Ocean Times
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