Le Borussia est le nouveau leader du groupe D. Il a battu le Real Madrid (2-1), mercredi, et compte désormais un point de plus au classemen...
Le Borussia est le nouveau leader du groupe D. Il a battu le Real Madrid
(2-1), mercredi, et compte désormais un point de plus au classement. Un
point, c'est le total de Manchester City, battu à Amsterdam (3-1). Les
Citizens sont derniers.
L'histoire est connue : c'est la même depuis le début de saison. Un contenu dans le jeu plutôt de bonne facture mais une incapacité chronique à le concrétiser au tableau d'affichage et une sanction immédiate. Ce mercredi, les énièmes errements montpelliérains et la naïveté du MHSC ont été sanctionnés par un Olympiakos sans génie mais opportuniste (1-2). Dans les arrêts de jeu, Mitroglou a crucifié les hommes de René Girard. La qualification s'éloigne clairement à l'issue de la phase aller. Dernier de son groupe, Montpellier accuse un retard de cinq points sur Arsenal, deuxième, qui a subi la loide Schalke 04 (2-0).
Ce revers a un goût bien fade pour des Héraultais qui ont dominé dans tous les compartiments du jeu, aussi bien dans la possession (59%) qu'au nombre de frappes (18 contre 5). D'autant que le surprenant titulaire, Gaëtan Charbonnier, a montré la voie en ouvrant la marque, inscrivant ainsi son premier but sous les couleurs héraultaises, d'une reprise à l'entre de la surface (49e).
Younès Belhanda aurait pu enfoncer le clou (70e). C'est Torosidis (73e) qui a profité du premier tir cadré des Grecs et d'une glissade de Benjamin Stambouli pour égaliser et renvoyer le MHSC à ses doutes du moment. Dès lors, les Héraultais ont déjoué. Incapables de reprendre le fil d'une rencontre dont le sort semblait sceller. C'est donc Mitroglou, en contre, qui s'est régalé dans les arrêts de jeu. L'issue de la rencontre est cruelle mais Montpellier a la tête dans le sac depuis le début de saison et répète à l'infini les mêmes erreurs. Deux tirs cadrés, autant
Plus d'infos à suivre...
Montpellier est maudit
Largement dominateur face à l'Olympiakos, Montpellier, très naïf, s'est incliné dans les arrêts de jeu (1-2). La qualification s'éloigne sérieusement.L'histoire est connue : c'est la même depuis le début de saison. Un contenu dans le jeu plutôt de bonne facture mais une incapacité chronique à le concrétiser au tableau d'affichage et une sanction immédiate. Ce mercredi, les énièmes errements montpelliérains et la naïveté du MHSC ont été sanctionnés par un Olympiakos sans génie mais opportuniste (1-2). Dans les arrêts de jeu, Mitroglou a crucifié les hommes de René Girard. La qualification s'éloigne clairement à l'issue de la phase aller. Dernier de son groupe, Montpellier accuse un retard de cinq points sur Arsenal, deuxième, qui a subi la loide Schalke 04 (2-0).
Ce revers a un goût bien fade pour des Héraultais qui ont dominé dans tous les compartiments du jeu, aussi bien dans la possession (59%) qu'au nombre de frappes (18 contre 5). D'autant que le surprenant titulaire, Gaëtan Charbonnier, a montré la voie en ouvrant la marque, inscrivant ainsi son premier but sous les couleurs héraultaises, d'une reprise à l'entre de la surface (49e).
Younès Belhanda aurait pu enfoncer le clou (70e). C'est Torosidis (73e) qui a profité du premier tir cadré des Grecs et d'une glissade de Benjamin Stambouli pour égaliser et renvoyer le MHSC à ses doutes du moment. Dès lors, les Héraultais ont déjoué. Incapables de reprendre le fil d'une rencontre dont le sort semblait sceller. C'est donc Mitroglou, en contre, qui s'est régalé dans les arrêts de jeu. L'issue de la rencontre est cruelle mais Montpellier a la tête dans le sac depuis le début de saison et répète à l'infini les mêmes erreurs. Deux tirs cadrés, autant
Plus d'infos à suivre...
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