Dans un courrier du samedi 25 août, le chef de l'exécutif de l'île autonome de Ngazidja, Mouigni Baraka Said Soilihi, demande à son...
Dans un courrier du samedi 25 août, le chef de l'exécutif de l'île autonome de Ngazidja, Mouigni Baraka Said Soilihi, demande à son homologue d'Anjouan de « suspendre toute initiative » visant à casser le monopole de l'office national d'importation et de commercialisation du riz (Onicor).
« Je voudrais à ce sujet échanger des correspondances avec vous, mais mon agenda ne l'a pas permis », a expliqué le gouverneur de Ngazidja dans son courrier envoyé le jour de son départ à l'étranger. « Aussitôt rentré de Chine et de France, je reprendrais contact [avec vous, ndlr].
En attendant, je voudrais ainsi vous demander de bien vouloir suspendre toute initiative pour que nous puissions ensemble, avec le chef de l'Etat, coordonner et harmoniser nos différentes actions », poursuit M. Mouigni Baraka qui, comme le gouverneur d'Anjouan, se dit inquiet des « variations à la hausse souvent incontrôlées des prix ».
Pour le gouverneur de Ngazidja, certes, il faut réformer le statut de l'Onicor, mais celui-ci ne relève pas du pouvoir « des gouverneurs des îles, mais de l'Assemblée de l'Union ».
« Je voudrais à ce sujet échanger des correspondances avec vous, mais mon agenda ne l'a pas permis », a expliqué le gouverneur de Ngazidja dans son courrier envoyé le jour de son départ à l'étranger. « Aussitôt rentré de Chine et de France, je reprendrais contact [avec vous, ndlr].
En attendant, je voudrais ainsi vous demander de bien vouloir suspendre toute initiative pour que nous puissions ensemble, avec le chef de l'Etat, coordonner et harmoniser nos différentes actions », poursuit M. Mouigni Baraka qui, comme le gouverneur d'Anjouan, se dit inquiet des « variations à la hausse souvent incontrôlées des prix ».
Pour le gouverneur de Ngazidja, certes, il faut réformer le statut de l'Onicor, mais celui-ci ne relève pas du pouvoir « des gouverneurs des îles, mais de l'Assemblée de l'Union ».
Et M. Mouigni Mouigni Baraka d'insister que « le cadre approprié pour soulever les problèmes du moment est la conférence au sommet dont les dispositions pratiques ont été arrêtées par le chef de l'Etat ». Ngazi Ngome