Entre François Hollande et Valérie Trierweiler, la complicité est totale. Un sujet pourtant est capable de mettre le feu aux poudres entre ...
Entre François Hollande et Valérie Trierweiler, la complicité est totale. Un sujet pourtant est capable de mettre le feu aux poudres entre le président de la République et sa compagne : Ségolène Royal.
Il y a cinq ans, elle a failli être à sa place. Le 15 mai dernier, Ségolène Royal, candidate malheureuse à la présidentielle 2007, n’était même pas présente à l’investiture de celui qui fut son compagnon durant près de 30 ans. Aux côtés de François Hollande, sa compagne depuis 2006, Valérie Trierweiler. Si en public, les relations entre les deux femmes sont froides mais cordiales, en privé, c’est une autre histoire.
L’Express nous apprend que la « first girlfriend » de France, comme l’appellent les Américains, souffrirait d’une jalousie « profonde et irraisonnée » à l’égard de Ségolène Royal. « Avec Valérie, tout ce qui concerne Ségolène sort du domaine du rationnel, confirme un proche. Il est quasi impossible d’aborder ce sujet devant elle, même sous un angle uniquement politique. »
Premiers à en faire les frais, les journalistes priés de ne pas s’emmêler les pinceaux. Le 9 mai dernier, le Canard Enchaîné publiait pour preuve un texto de Valérie Trierweiler adressé à une journaliste de Paris Match qui précisait dans un article que Thomas Hollande était le fils aîné du « couple Royal-Hollande ». Le SMS envoyé par Valérie Trierweiler ? « De l'ex-couple Royal-Hollande ! À quoi joues-tu ? »
Autre victime collatérale de la jalousie de Valérie Trierweiler : le président lui-même. Le 4 avril dernier rapporte l’Express, François Hollande doit retrouver pour la première fois en public la mère de ses quatre enfants avec laquelle un meeting est programmé à Rennes.
Dans le train, la compagne du président ne cesse d’envoyer des SMS à ce dernier, alors qu’ils sont assis à 50 cm l’un de l’autre. Selon des témoins « l’atmosphère est électrique ». Valérie Trierweiler est « à fleur de peau, comme à chaque fois qu’il est question de l’ex-compagne de François Hollande ». Les équipes du président et de Ségolène Royal multiplient les allers-retours pour que le meeting se passe au mieux mais « rien n’apaise Valérie Trierweiler ».
La tension est telle que l’entourage de François Hollande songe à annuler la photo prévue de longue date entre l’ex-couple. C’est finalement la compagne de François Hollande qui, sentant qu’elle est allée trop loin, décide d’aller publiquement serrer la main de Ségolène Royal sous les flashs des photographes qu’elle a elle-même prévenus quelques instants auparavant. Prise au piège, Ségolène Royal n’a d’autre choix que de faire bonne figure et d’accepter la main qui lui est tendue. Une humiliation qu’elle garde en travers de la gorge comme elle l’a confié à l’Express : « Je ne suis pas une people, mais une personnalité politique de premier plan. C'était dégradant. »
De tous les conflits qui attendent François Hollande, c’est peut-être le réchauffement des relations entre son ex et sa nouvelle compagne qui s’annonce comme le chantier le plus délicat de son quinquennat.Source : voici.fr
COMMENTAIRES