“Nous voulons former les jeunes sur la bonne gouvernance et les finances locales“ car le pays a besoin de ressources humaines formées “pour...
“Nous voulons former les jeunes sur la bonne gouvernance et les finances locales“ car le pays a besoin de ressources humaines formées “pour pouvoir gérer les collectivités locales et au final déléguer le pouvoir à une entité reconnue officiellement et qui pourra véhiculer le message sur la gestion des collectivités”.
Suite à la première mission,
réalisée du 25 novembre au
4 décembre de l’année dernière
pour une étude de faisabilité
du dit Master, une maquette
avec des cours adaptés aux réalités
comoriennes et en adéquation avec le
nouveau dispositif légal de décentralisation
a été proposée.
Les modules sont axés sur des matières
en lien avec les compétences
exercées par les collectivités, à savoir
droits et gestion des services publics,
contrats publics, fiscalité locale,
urbanisme…
C’est suite à cette étude qu’une formation
à l’endroit des enseignants et
des enseignants chercheurs se déroule
du 28 au 30 mai. Son objectif est
de favoriser une meilleure appropriation
des unités d’enseignement proposées
dans le cadre de ce Master
aux enseignants pressentis (professeurs
de la faculté de droit, acteurs
locaux impliqués dans les collectivités
et autres intervenants). “C’est
dans le but de bien gérer les collectivités
que nous avons proposé ce
Master, 1 et 2 avec les deux options
que sont la décentralisation-déconcentration
et l’économie des collectivités“,
a expliqué le responsable de
Master Droit et sciences économiques,
Ahmed Ben Kassim.
Des personnels formés
pour les collectivités
“Nous voulons former les jeunes sur
la bonne gouvernance et les finances
locales“ car le pays a besoin de ressources
humaines formées “pour
pouvoir gérer les collectivités locales
et au final déléguer le pouvoir à une
entité reconnue officiellement et qui
pourra véhiculer le message sur la
gestion des collectivités“, devait-il
ajouter.
Les enseignants devant dispenser les
cours de ce Master, doivent être de
niveau bac+5 avec une expérience de
cinq ans en fiscalité, urbanisme,
finances publiques ou bonne gouvernance.
Cent cinquante manuels de
références ont été offerts par l’Union
européenne qui a effectué également
la réhabilitation et équipé une grande
salle à Mvuni. “Nous ouvrons en
même temps un Master 1 et 2, car
nous avons déjà des maitrisards en
économie, en droit, en administration
économique et sociale et nous
procéderons également aux validations
des acquis des étudiants vénus
de l’extérieur voulant intégrer le
Master“.
réalisée du 25 novembre au
4 décembre de l’année dernière
pour une étude de faisabilité
du dit Master, une maquette
avec des cours adaptés aux réalités
comoriennes et en adéquation avec le
nouveau dispositif légal de décentralisation
a été proposée.
Les modules sont axés sur des matières
en lien avec les compétences
exercées par les collectivités, à savoir
droits et gestion des services publics,
contrats publics, fiscalité locale,
urbanisme…
C’est suite à cette étude qu’une formation
à l’endroit des enseignants et
des enseignants chercheurs se déroule
du 28 au 30 mai. Son objectif est
de favoriser une meilleure appropriation
des unités d’enseignement proposées
dans le cadre de ce Master
aux enseignants pressentis (professeurs
de la faculté de droit, acteurs
locaux impliqués dans les collectivités
et autres intervenants). “C’est
dans le but de bien gérer les collectivités
que nous avons proposé ce
Master, 1 et 2 avec les deux options
que sont la décentralisation-déconcentration
et l’économie des collectivités“,
a expliqué le responsable de
Master Droit et sciences économiques,
Ahmed Ben Kassim.
Des personnels formés
pour les collectivités
“Nous voulons former les jeunes sur
la bonne gouvernance et les finances
locales“ car le pays a besoin de ressources
humaines formées “pour
pouvoir gérer les collectivités locales
et au final déléguer le pouvoir à une
entité reconnue officiellement et qui
pourra véhiculer le message sur la
gestion des collectivités“, devait-il
ajouter.
Les enseignants devant dispenser les
cours de ce Master, doivent être de
niveau bac+5 avec une expérience de
cinq ans en fiscalité, urbanisme,
finances publiques ou bonne gouvernance.
Cent cinquante manuels de
références ont été offerts par l’Union
européenne qui a effectué également
la réhabilitation et équipé une grande
salle à Mvuni. “Nous ouvrons en
même temps un Master 1 et 2, car
nous avons déjà des maitrisards en
économie, en droit, en administration
économique et sociale et nous
procéderons également aux validations
des acquis des étudiants vénus
de l’extérieur voulant intégrer le
Master“.
40 inscrits par Master
un premier temps, quarante
étudiants seront inscrits dans chaque
Master pour être sûr de pouvoir
accompagner directement le processus
de décentralisation en juillet
2013. Pour rappel, une convention de
partenariat entre l’Université des
Comores et le Programme de coopération
décentralisée (Pcd) a été
signée par le président de l’université
et le directeur-régisseur du
Programme de coopération décentralisée.
Cette convention qui va durer
jusqu’au 30 juin 2012, comprend un
volet sur l’appui à la création, au sein
de la faculté de droit et des sciences
économiques, un Master (Masters 1
et 2) d’administration publique et
gestion des collectivités, assorti
d’une Unité de recherche-action, un
autre sur l’appui à l’organisation au
sein du centre universitaire de formation
permanente (Cufop) des formations
de courte durée pour adultes en
vue de renforcer les capacités locales
en matière de décentralisation et
déconcentration.
Abouhariat Saïd Abdallah : alwatwan
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