Les médecins ont eu déjà à traiter des maladies telles des gastro-entérites qui surviennent à cause de l'eau non bouillie, des ...
Les médecins ont eu déjà à traiter des maladies telles des gastro-entérites qui surviennent à cause de l'eau non bouillie, des pieds d'athlète ou encore des mycoses au niveau des pieds ou des mains, affirme le docteur Inoussa. "Ce sont des conséquences naturelles suite aux intempéries, mais nous nous battons contre le risque de choléra", insistera colonel Mouigni Daho.
A mesure que la situation redevient normale dans les zones sinistrées, la direction générale de la sécurité civile multiplie la vigilance pour épargner à la population d'éventuelles épidémies et mieux assis- ter surtout les femmes enceintes et les enfants en bas âge à partir du poste de santé avancé, installé à Mdjwayezi ya Hambu.
C'est ainsi que le Dr Chakour confie que "nous avons eu des cas d'urgen- ce, notamment, la nuit du dimanche, nous avons intervenu pour des césa- riennes au bloc de Fumbuni, pour des patients présentant des compli- cations, déplacé depuis Hambu vers Fumbuni". Le directeur général de la sécurité civile, le colonel Mouigni Daho, a confirme : "nous avons déplacé des malades de Nyumadzaha vers le poste de santé de Mbude ya Bambao ou vers Moroni pour des interventions chi- rurgicales pour des cas dont un poste de santé ne peut traiter". Cependant, les médecins ont eu déjà à traiter des maladies telles des gas- tro-entérites qui surviennent à cause de l'eau non bouillie, des pieds d'athlète ou encore des mycoses au niveau des pieds ou des mains, affir- me le docteur Inoussa. "Ce sont des conséquences naturelles suite aux intempéries, mais nous nous battons contre le risque de choléra", insiste- ra colonel Mouigni Daho.
C'est ainsi que le Dr Chakour confie que "nous avons eu des cas d'urgen- ce, notamment, la nuit du dimanche, nous avons intervenu pour des césa- riennes au bloc de Fumbuni, pour des patients présentant des compli- cations, déplacé depuis Hambu vers Fumbuni". Le directeur général de la sécurité civile, le colonel Mouigni Daho, a confirme : "nous avons déplacé des malades de Nyumadzaha vers le poste de santé de Mbude ya Bambao ou vers Moroni pour des interventions chi- rurgicales pour des cas dont un poste de santé ne peut traiter". Cependant, les médecins ont eu déjà à traiter des maladies telles des gas- tro-entérites qui surviennent à cause de l'eau non bouillie, des pieds d'athlète ou encore des mycoses au niveau des pieds ou des mains, affir- me le docteur Inoussa. "Ce sont des conséquences naturelles suite aux intempéries, mais nous nous battons contre le risque de choléra", insiste- ra colonel Mouigni Daho.
Le patron national de la sécurité civile a déclaré, au sujet de l'assainissement, que les travaux sont encore en cours et que ces maisons ne sont pas encore vivables. "Il est difficile pour le moment d'estimer quand les travaux de nettoyage des
maisons seront finies car cela va dépendre des moyens dont nous disposons", a tenu à faire remarquer Mouigni Daho qui explique que depuis quatre jours que ces travaux ont commencé à Vuvuni, le chantier a l'impression d'être toujours à ses débuts.
"Douane, première dame, Onicor", etc.
"Nous avons mis en place des camions et des chargeurs pour ren- forcer les capacités à Nyumadzaha. Par contre, les routes sont praticables dans l'ensemble de l'île de Ngazidja", a-t-il soutenu.
Quant à la gestion de l'aide alimentaire qui atterrit à la direction nationale de la sécurité civile, Issa
"Douane, première dame, Onicor", etc.
"Nous avons mis en place des camions et des chargeurs pour ren- forcer les capacités à Nyumadzaha. Par contre, les routes sont praticables dans l'ensemble de l'île de Ngazidja", a-t-il soutenu.
Quant à la gestion de l'aide alimentaire qui atterrit à la direction nationale de la sécurité civile, Issa
Soilihi, représentant du ministère des Finances au comité de gestion des aides, affirme avoir reçu, depuis lundi, environ 26 tonnes de riz de l'Onicor, 62 matelas dont 27 mate- las de deux place de la part de la direction générale des douanes mais aussi d'autres matelas offerts par la première dame des Comores, et d'autres denrées, notamment du riz et des dattes offerts aux populations sinistrées par des personnes de bonnes volontés.
Le gouvernement a mis à la disposi- tion des personnes de la nourriture dont le coût est évalué à 4 millions de francs. "Tous ces aides entrent dans les besoins des premières nécessités", confie Issa Soilih.
Abouhariat Saïd Abdallah: alwatwan
Le gouvernement a mis à la disposi- tion des personnes de la nourriture dont le coût est évalué à 4 millions de francs. "Tous ces aides entrent dans les besoins des premières nécessités", confie Issa Soilih.
Abouhariat Saïd Abdallah: alwatwan