Selon l’ONG Médecins Sans Frontières , une femme se fait violer toutes les 26 secondes. Environ 60 000 plaintes ont été enregistrés en 2...
Selon l’ONG Médecins Sans Frontières, une femme se fait violer toutes les 26 secondes. Environ 60 000 plaintes ont été enregistrés en 2011 par la police sud-africaine sans compter les cas non répertoriés qui doivent réhausser considérablement le nombre total de victimes. Ces statistiques sont dignes d’un pays en guerre.
La quantité n’est cependant pas le seul fait alarmant , les circonstances du viol sont tout aussi affreuses : les victimes connaissent pour la plupart leur(s) violeur(s), et les agresseurs resteraient indifférents au mal qu’ils engendrent, ils y prendraient même plaisir, rappelons que le viol de la jeune fille a été filmé puis diffusé sur Internet.
« Le viol est devenu une pratique banale, quasi normale dans les relations sociales sud-africaines. Culturellement un homme doit être ‘dur’. Le viol est un moyen de s’imposer dans la société », dénonçait en 2009 le site Novapresse.
Cet acte odieux a reveillé un sujet de honte nationale. L’attention mondiale qui est portée à cette affaire, fait pression sur la justice sud-africaine pour renforcer ses moyens de lutte contre les viols et la sévérité des peines appliquées.Source:afriquinfos
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