Des résultats du moteur de recherche de Google. La guerre des réseaux sociaux aura bien lieu. Des ingénieurs de Facebook, Twitter et MySpac...
Des résultats du moteur de recherche de Google.
La guerre des réseaux sociaux aura bien lieu. Des ingénieurs de Facebook, Twitter et MySpace ont lancé, lundi 23 janvier, une initiative, baptisée "Focus on the user", destinée, selon ces entreprises, à donner une image "plus pertinente" des résultats du moteur de recherche. Ces groupes accusent notamment Google de trop mettre en avant les résultats du réseau social Google+.
Pour le démontrer, des ingénieurs ont décidé de prendre Google à son propre jeu. Ils ont conçu un petit module, qui peut être intégré dans plusieurs navigateurs Web : Chrome, Firefox, Safari. Quand l'internaute utilise ce code, il a accès à "ce que devrait être Google", selon ses concepteurs, qui disent remonter les résultats de nombreux réseaux sociaux.
Cette initiative intervient, alors que Google a présenté, mi-janvier, une nouvelle fonctionnalité, Search Plus Your World, qui pousse encore plus loin l'intégration de la plateforme sociale Google+ dans les résultats d'une recherche sur le moteur."Nous pensons que ceci est une mauvaise chose pour les gens, pour les éditeurs, pour les médias et pour les utilisateurs de Twitter", avait alors estimé le site de micromessagerie Twitter, dans un communiqué. Comme l'indique toutefois le site Focus on the user, le nouveau système de Google ne concerne pour l'instant qu'un certain pourcentage des utilisateurs de google.com, aux Etats-Unis.
SURREPRÉSENTATION DE GOOGLE+ ?
Pour montrer l'efficacité de leur outil, les concepteurs du module "open source", prennent trois exemples. Ils entendent d'abord montrer qu'en tapant un terme générique, comme "films" ou "musique", ce sont les profils Google+ de personnalités qui apparaissent en tête des résultats, "même si l'utilisateur n'a pas de compte" sur le réseau social de Google.
"Souvent, ces résultats ne sont pas pertinents, par exemple dans le cas du profil vide de Mark Zuckerberg sur Google+, quand on tape 'Facebook'", note aussi Focus on the user. Les concepteurs du module relèvent des problématiques similaires, quand un internaute tape le nom d'une grande marque ou quand il utilise le formulaire d'autocomplétion (saisie automatique) du moteur de recherche.
D'après les derniers résultats financiers de la firme de Mountain View, Google+ compte plus de 90 millions d'inscrits. Facebook revendique pour sa part plus de 800 millions d'abonnés.
Pour le démontrer, des ingénieurs ont décidé de prendre Google à son propre jeu. Ils ont conçu un petit module, qui peut être intégré dans plusieurs navigateurs Web : Chrome, Firefox, Safari. Quand l'internaute utilise ce code, il a accès à "ce que devrait être Google", selon ses concepteurs, qui disent remonter les résultats de nombreux réseaux sociaux.
Cette initiative intervient, alors que Google a présenté, mi-janvier, une nouvelle fonctionnalité, Search Plus Your World, qui pousse encore plus loin l'intégration de la plateforme sociale Google+ dans les résultats d'une recherche sur le moteur."Nous pensons que ceci est une mauvaise chose pour les gens, pour les éditeurs, pour les médias et pour les utilisateurs de Twitter", avait alors estimé le site de micromessagerie Twitter, dans un communiqué. Comme l'indique toutefois le site Focus on the user, le nouveau système de Google ne concerne pour l'instant qu'un certain pourcentage des utilisateurs de google.com, aux Etats-Unis.
SURREPRÉSENTATION DE GOOGLE+ ?
Pour montrer l'efficacité de leur outil, les concepteurs du module "open source", prennent trois exemples. Ils entendent d'abord montrer qu'en tapant un terme générique, comme "films" ou "musique", ce sont les profils Google+ de personnalités qui apparaissent en tête des résultats, "même si l'utilisateur n'a pas de compte" sur le réseau social de Google.
"Souvent, ces résultats ne sont pas pertinents, par exemple dans le cas du profil vide de Mark Zuckerberg sur Google+, quand on tape 'Facebook'", note aussi Focus on the user. Les concepteurs du module relèvent des problématiques similaires, quand un internaute tape le nom d'une grande marque ou quand il utilise le formulaire d'autocomplétion (saisie automatique) du moteur de recherche.
D'après les derniers résultats financiers de la firme de Mountain View, Google+ compte plus de 90 millions d'inscrits. Facebook revendique pour sa part plus de 800 millions d'abonnés.
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