Une fillette de 7 ans a été victime de viol avec violence commis par un homme qui l’a enlevée à sa sortie de l’école coranique. Les faits se...
Une fillette de 7 ans a été victime de viol avec violence commis par un homme qui l’a enlevée à sa sortie de l’école coranique. Les faits se sont déroulés samedi dernier à Vouvouni dans le centre de la Grande-Comore, selon le journal Albalad de ce jour. La jeune fille souffre de graves séquelles physiques et psychologiques à la suite de son agression. Tandis que le présumé violeur court toujours avec la police à ses trousses.
Le viol a été confirmé par un gynécologue qui a examiné la victime à l’hôpital El-Maarouf, dans la capitale Moroni. Le Dr. Ahamed Abdouchacour affirme avoir relevé sur la fillette des traces d’agression sexuelle, dont des saignements. « Elle a eu une grave déchirure au niveau des parties génitales qui ont nécessité des sutures », déclare le médecin dans les colonnes d’Albalad.
Le gynécologue a également constaté que la petite fille s’est faite infliger de violents coups portés par son agresseur sur sa tête. « A son arrivée à El-Maarouf (hôpital, ndlr), elle présentait un œdème au niveau des yeux. L’agresseur voulait probablement lui fermer, de force, les yeux pour éviter d’être reconnu avant d’abuser d’elle sauvagement », raconte la sage-femme major de la maternité, Fatima Ali Mohamed.
« La blessure est profonde. Nous la gardons sous surveillance pour des soins suivis afin d’éviter toute infection », poursuit la sage-femme qui a pris en charge la jeune victime depuis dimanche. La fillette, dont les yeux avaient été bandés au moment des faits, dit n’être pas en mesure d’identifier son agresseur. Selon la mère de la victime, « la fillette revenait de l’école coranique quand elle a été enlevée et abusée dans un lieu non fréquenté ».
De source hospitalière, l’enfant est sévèrement traumatisée après le viol dont elle a été victime et les médecins estiment qu’il lui faut un traitement psychologique spécialisé pour pouvoir se remettre sur pied et reprendre la vie normale. Pour l’heure, le présumé violeur n’a pas encore été interpellé et la police se charge de sa traque.
Sur l’archipel des Comores, les agressions sexuelles sur mineur constituent un grave fléau de la société, où il ne passe pas un jour sans que l’actualité locale ne fasse état d’un viol commis sur des enfants. Rien que sur la Grande-Comore, une cellule d’écoute mise en place par les autorités a enregistré un peu plus de 132 cas depuis le début de l’année 2011, selon Albalad.
Le viol a été confirmé par un gynécologue qui a examiné la victime à l’hôpital El-Maarouf, dans la capitale Moroni. Le Dr. Ahamed Abdouchacour affirme avoir relevé sur la fillette des traces d’agression sexuelle, dont des saignements. « Elle a eu une grave déchirure au niveau des parties génitales qui ont nécessité des sutures », déclare le médecin dans les colonnes d’Albalad.
Le gynécologue a également constaté que la petite fille s’est faite infliger de violents coups portés par son agresseur sur sa tête. « A son arrivée à El-Maarouf (hôpital, ndlr), elle présentait un œdème au niveau des yeux. L’agresseur voulait probablement lui fermer, de force, les yeux pour éviter d’être reconnu avant d’abuser d’elle sauvagement », raconte la sage-femme major de la maternité, Fatima Ali Mohamed.
« La blessure est profonde. Nous la gardons sous surveillance pour des soins suivis afin d’éviter toute infection », poursuit la sage-femme qui a pris en charge la jeune victime depuis dimanche. La fillette, dont les yeux avaient été bandés au moment des faits, dit n’être pas en mesure d’identifier son agresseur. Selon la mère de la victime, « la fillette revenait de l’école coranique quand elle a été enlevée et abusée dans un lieu non fréquenté ».
De source hospitalière, l’enfant est sévèrement traumatisée après le viol dont elle a été victime et les médecins estiment qu’il lui faut un traitement psychologique spécialisé pour pouvoir se remettre sur pied et reprendre la vie normale. Pour l’heure, le présumé violeur n’a pas encore été interpellé et la police se charge de sa traque.
Sur l’archipel des Comores, les agressions sexuelles sur mineur constituent un grave fléau de la société, où il ne passe pas un jour sans que l’actualité locale ne fasse état d’un viol commis sur des enfants. Rien que sur la Grande-Comore, une cellule d’écoute mise en place par les autorités a enregistré un peu plus de 132 cas depuis le début de l’année 2011, selon Albalad.
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