credits : Andrew Yates L'attaquant uruguayen de Liverpool Luis Suarez a été suspendu 8 matches mardi par la commission de discipline...
credits : Andrew Yates L'attaquant uruguayen de Liverpool Luis Suarez a été suspendu 8 matches mardi par la commission de discipline de la Fédération anglaise de football (FA) après ses propos jugés racistes à l'encontre du défenseur français de Manchester United, Patrice Evra. |
L'attaquant uruguayen de Liverpool Luis Suarez a été suspendu 8 matches mardi par la commission de discipline de la Fédération anglaise de football (FA) après ses propos jugés racistes à l'encontre du défenseur français de Manchester United, Patrice Evra. Le joueur des Reds a en plus écopé d'une amende de 40 000 livres d'amende (48.000 euros environ). L'incident a eu lieu le 15 octobre lors de la rencontre de Premier League entre Liverpool et Manchester United.
Peu après la partie, Evra s'est déclaré «inflexible» sur sa décision d'entamer une action à l'encontre de l'international uruguayen. Selon le défenseur français, Suarez lui aurait adressé à plusieurs reprises des insultes racistes. Liverpool et Suarez ont fermement démenti ces allégations. Après six jours d'audition et un mois d'enquête, la FA a finalement tranché. Sa commission de discipline a donné raison au Français, affirmant que l'Uruguayen avait proféré «des mots insultants» envers Evra et que ceux-ci «comprenaient une référence à la couleur de peau» du défenseur.
Suarez : un jour «très difficile»
L'attaquant uruguayen des Reds qui avait succédé dans le coeur des supporteurs à l'Espagnol Torres, a la possibilité de faire appel. Il a toujours nié avoir tenu de tels propos. Adepte des réseaux sociaux, il a réagi via sa messagerie Twitter mardi soir à sa condamnation, affirmant qu'il s'agissait d'un jour «très difficile et douloureux pour (lui) et (sa) famille». Au lendemain de l'incident, il avait déclaré sur Facebook : «Je suis en colère face à ces accusations de racisme. Tout ce que je peux dire, c'est que j'ai toujours respecté et que je respecte tout le monde. Nous sommes tous les mêmes».
«Je vais sur le terrain avec l'envie d'un enfant qui aime ce qu'il fait, pas pour créer des conflits», a ajouté le Sud-Américain.
Avant l'audition, l'Uruguayen avait reçu le soutien de son équipe, dont son manager, Kenny Dalglish. «Nous le soutiendrons. (...) C'est seulement par intérêt que des gens qui n'arrivent pas à le stopper sur le terrain s'emploient à trouver d'autres moyens pour l'arrêter», avait assuré Dalglish.
Dans un entretien à Canal +, en octobre dernier, Evra a accusé Suarez de lui avoir adressé des propos racistes, «pour le faire craquer». Et d'insister sur ces propos: «Il y a des caméras, vous pouvez le voir me dire un certain mot au moins dix fois, il n'y a pas de place pour ça en 2011, l'arbitre sait très bien ce qu'il a dit (...) Je ne répéterai pas ce qu'il a dit, mais c'était un mot raciste et il l'a dit plus de dix fois».
Peu après la partie, Evra s'est déclaré «inflexible» sur sa décision d'entamer une action à l'encontre de l'international uruguayen. Selon le défenseur français, Suarez lui aurait adressé à plusieurs reprises des insultes racistes. Liverpool et Suarez ont fermement démenti ces allégations. Après six jours d'audition et un mois d'enquête, la FA a finalement tranché. Sa commission de discipline a donné raison au Français, affirmant que l'Uruguayen avait proféré «des mots insultants» envers Evra et que ceux-ci «comprenaient une référence à la couleur de peau» du défenseur.
Suarez : un jour «très difficile»
L'attaquant uruguayen des Reds qui avait succédé dans le coeur des supporteurs à l'Espagnol Torres, a la possibilité de faire appel. Il a toujours nié avoir tenu de tels propos. Adepte des réseaux sociaux, il a réagi via sa messagerie Twitter mardi soir à sa condamnation, affirmant qu'il s'agissait d'un jour «très difficile et douloureux pour (lui) et (sa) famille». Au lendemain de l'incident, il avait déclaré sur Facebook : «Je suis en colère face à ces accusations de racisme. Tout ce que je peux dire, c'est que j'ai toujours respecté et que je respecte tout le monde. Nous sommes tous les mêmes».
«Je vais sur le terrain avec l'envie d'un enfant qui aime ce qu'il fait, pas pour créer des conflits», a ajouté le Sud-Américain.
Avant l'audition, l'Uruguayen avait reçu le soutien de son équipe, dont son manager, Kenny Dalglish. «Nous le soutiendrons. (...) C'est seulement par intérêt que des gens qui n'arrivent pas à le stopper sur le terrain s'emploient à trouver d'autres moyens pour l'arrêter», avait assuré Dalglish.
Dans un entretien à Canal +, en octobre dernier, Evra a accusé Suarez de lui avoir adressé des propos racistes, «pour le faire craquer». Et d'insister sur ces propos: «Il y a des caméras, vous pouvez le voir me dire un certain mot au moins dix fois, il n'y a pas de place pour ça en 2011, l'arbitre sait très bien ce qu'il a dit (...) Je ne répéterai pas ce qu'il a dit, mais c'était un mot raciste et il l'a dit plus de dix fois».
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