Le comédien metteur en scène Soumette Ahmed Saïd Ali devra quitter le pays le 15 de ce mois, à destination de la France, où il doit reprendr...
Le comédien metteur en scène Soumette Ahmed Saïd Ali devra quitter le pays le 15 de ce mois, à destination de la France, où il doit reprendre ses études au Conservatoire du Grand Avignon. « Je suis retenu en 4e année pour finir ma formation et là j'obtiendrai un diplôme d'étude théâtrale après l'obtention du certificat d'étude théâtrale », a déclaré le comédien du Théâtre Djumbé, un des initiateurs du Centre de Création Artistique des Comores.«Je suis venu ici spécialement pour ce projet, là je vais assurer sa continuité en France avec nos partenaires qui devront envoyer une mission d'expertise dans les semaines qui viennent », a ajouté le comédien.
« J'entends diriger, un jour, une école ou une structure de théâtre qui dispenserait des cours de théâtre », a-t-il précisé avant d'aaouter : « passer par un conservatoire, c'est le rêve de tout acteur voulant se professionnaliser et s'affirmer dans son travail, surtout quand on envisage d'enseigner ou de transmettre la formation théâtrale ».
«Je sais que les jeunes comoriens, les associations villageoises, les troupes amateurs sont très demandeurs dans ce domaine et i ls ont soif d'une formation continue. Les écoles aussi en ont besoin pour des cours de théâtre et il n'y a malheureusement pas les ressources humaines nécessaires», a-t-il encore aaouté. _ CHADYA HAMADI
« J'entends diriger, un jour, une école ou une structure de théâtre qui dispenserait des cours de théâtre », a-t-il précisé avant d'aaouter : « passer par un conservatoire, c'est le rêve de tout acteur voulant se professionnaliser et s'affirmer dans son travail, surtout quand on envisage d'enseigner ou de transmettre la formation théâtrale ».
«Je sais que les jeunes comoriens, les associations villageoises, les troupes amateurs sont très demandeurs dans ce domaine et i ls ont soif d'une formation continue. Les écoles aussi en ont besoin pour des cours de théâtre et il n'y a malheureusement pas les ressources humaines nécessaires», a-t-il encore aaouté. _ CHADYA HAMADI
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