«J'ai accueilli la plainte avec étonnement et indignation. Le président Sambi ne mérite pas cela au vu des efforts qu'il a déployés ...
«J'ai accueilli la plainte avec étonnement et indignation. Le président Sambi ne mérite pas cela au vu des efforts qu'il a déployés pour permettre au pays de nouer avec son décollage économique», déclaré, hier à Albalad, Ahmed Ben Said Jaffar, ancien chef de la diplomatie comorienne.
Il réagissait à la plainte déposée par la Convention pour le Renouveau des Comores (CRC) qui accuse l'ancien président de détournements de fonds publics présumés. «Personne ne peut contester de l a bonne foi et de la bonne volonté qui l 'ont toujours animé pour sortir ce pays des difficultés auxquelles
il faisait face», a-t-il encore dit, estimant que M. Sambi a fait preuve de transparence dans sa gestion des affaires de l'Etat. «Qui peut aujourd'hui se targuer d'avoir été aussi clair et transparent que le président Sambi, l ui, qui, de retour d'une Oumra en Arabie saoudite est venue prendre à témoin la population sur le chèque de 5 millions de dollars qui lui avait été remis sa Majesté le roi d'Arabie Saoudite. C'était une première dans l'histoire. Les fonds ont été affectés au projet habitat, c'était une décision du président Sambi», a poursuivi l'ancien ministre des Relations extérieures.
«Malheureusement, il y a eu des maladresses dans la gestion, les fonds ont été mal gérés, le président l 'a d'ailleurs dit dans de nombreuses déclarations et il a décidé de changer des ministres» a-t-il admis avant
d'ajouter : « les fonds ont été bel et bien affectés au projet habitat La CRC n'a pas de leçons à nous donner quand on sait l a manière dont elle a géré le pays pendant plus de cinq ans».Albalad
Il réagissait à la plainte déposée par la Convention pour le Renouveau des Comores (CRC) qui accuse l'ancien président de détournements de fonds publics présumés. «Personne ne peut contester de l a bonne foi et de la bonne volonté qui l 'ont toujours animé pour sortir ce pays des difficultés auxquelles
il faisait face», a-t-il encore dit, estimant que M. Sambi a fait preuve de transparence dans sa gestion des affaires de l'Etat. «Qui peut aujourd'hui se targuer d'avoir été aussi clair et transparent que le président Sambi, l ui, qui, de retour d'une Oumra en Arabie saoudite est venue prendre à témoin la population sur le chèque de 5 millions de dollars qui lui avait été remis sa Majesté le roi d'Arabie Saoudite. C'était une première dans l'histoire. Les fonds ont été affectés au projet habitat, c'était une décision du président Sambi», a poursuivi l'ancien ministre des Relations extérieures.
«Malheureusement, il y a eu des maladresses dans la gestion, les fonds ont été mal gérés, le président l 'a d'ailleurs dit dans de nombreuses déclarations et il a décidé de changer des ministres» a-t-il admis avant
d'ajouter : « les fonds ont été bel et bien affectés au projet habitat La CRC n'a pas de leçons à nous donner quand on sait l a manière dont elle a géré le pays pendant plus de cinq ans».Albalad
COMMENTAIRES