Une nouvel le étude portant sur une population de 1.000 enfants et adolescents, suggère qu'il n'existe pas de lien direct entre le d...
Une nouvel le étude portant sur une population de 1.000 enfants et adolescents, suggère qu'il n'existe pas de lien direct entre le développement de cancer et l'utilisation répétée d'un téléphone cellulaire. Les
résultat sont publiés dans le Journal of the National Cancer Institute.
Les enfants et adolescents utilisant régulièrement un téléphone portable ne seraient pas plus exposés au développement de tumeurs cérébrales que ceux qui n'en utilisent pas régulièrement. Telles sont les conclusions d'une étude publiée le 28 juillet en ligne, par le Journal of the National Cancer Institute (JNCI).
Pour conduire leurs recherches, le Dr Martin Rôôsli et son équipe de l'Institut de santé publique et tropicale de Bâle en Suisse, ont étudié l es dossiers médicaux d'enfants âgés de 7 à 19 ans et vivant en Norvège, au Danemark, en Suède et en Suisse. Entre 2004 et 2008, les chercheurs ont
ainsi réalisé des entretiens avec 352 jeunes malades atteints de tumeurs au cerveau, mais aussi avec 646 autres jeunes qui ont servi de sujets contrôle. Pour l es deux groupes, ils ont alors procédé de la même manière en cherchant à évaluer leur fréquence d'usage du téléphone mobile pendant l'entretien et grâce aux relevés des opérateurs. C'est en réalité la première fois qu'une étude comparative de la sorte est conduite.
Pas d'association causale ?
Au final, l'étude a alors montré que 75,3 % des sujets malades et 72,1 %% des contrôles ont dit avoir téléphoné avec un mobile plus de 20 fois avant le diagnostic de cancer, et 55 % des cas contre 51 %% des contrôles ont fait état d'un usage régulier de portable. De
même, les jeunes qui utilisaient leur mobile depuis plus de 5 ans n'ont pas présenté de risque plus élevé de cancer comparé à ceux qui n'en avaient j amais utilisé. "Les données actuelles ne vont pas dans le sens d'une relation causale entre l'utilisation des téléphones portables et les tumeurs cérébrales", commentent les auteurs.
Par ailleurs, l'étude n'a pas montré de conséquences notables quant à la concentration des radiations due à un placement du téléphone sur un seul côté de la tête. Les résultats montrent ainsi une "absence de relation exposition-réponse soit en termes de quantité de l'utilisation du téléphone mobile soit par la localisation de la tumeur au cerveau, plaide contre une association causale", cite 20minutes.fr.
résultat sont publiés dans le Journal of the National Cancer Institute.
Les enfants et adolescents utilisant régulièrement un téléphone portable ne seraient pas plus exposés au développement de tumeurs cérébrales que ceux qui n'en utilisent pas régulièrement. Telles sont les conclusions d'une étude publiée le 28 juillet en ligne, par le Journal of the National Cancer Institute (JNCI).
Pour conduire leurs recherches, le Dr Martin Rôôsli et son équipe de l'Institut de santé publique et tropicale de Bâle en Suisse, ont étudié l es dossiers médicaux d'enfants âgés de 7 à 19 ans et vivant en Norvège, au Danemark, en Suède et en Suisse. Entre 2004 et 2008, les chercheurs ont
ainsi réalisé des entretiens avec 352 jeunes malades atteints de tumeurs au cerveau, mais aussi avec 646 autres jeunes qui ont servi de sujets contrôle. Pour l es deux groupes, ils ont alors procédé de la même manière en cherchant à évaluer leur fréquence d'usage du téléphone mobile pendant l'entretien et grâce aux relevés des opérateurs. C'est en réalité la première fois qu'une étude comparative de la sorte est conduite.
Pas d'association causale ?
Au final, l'étude a alors montré que 75,3 % des sujets malades et 72,1 %% des contrôles ont dit avoir téléphoné avec un mobile plus de 20 fois avant le diagnostic de cancer, et 55 % des cas contre 51 %% des contrôles ont fait état d'un usage régulier de portable. De
même, les jeunes qui utilisaient leur mobile depuis plus de 5 ans n'ont pas présenté de risque plus élevé de cancer comparé à ceux qui n'en avaient j amais utilisé. "Les données actuelles ne vont pas dans le sens d'une relation causale entre l'utilisation des téléphones portables et les tumeurs cérébrales", commentent les auteurs.
Par ailleurs, l'étude n'a pas montré de conséquences notables quant à la concentration des radiations due à un placement du téléphone sur un seul côté de la tête. Les résultats montrent ainsi une "absence de relation exposition-réponse soit en termes de quantité de l'utilisation du téléphone mobile soit par la localisation de la tumeur au cerveau, plaide contre une association causale", cite 20minutes.fr.
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