La longue attente des résultats du baccalauréat a pris fin vendredi dernier pour les 3.197 lauréats 2011. Les résultats définitifs toutes ...
La longue attente des résultats du baccalauréat a pris fin vendredi dernier pour les 3.197 lauréats 2011. Les résultats définitifs toutes filières confondues sont tombés à partir 14 heures au lycée Saïd Mohamed cheik de Moroni. Au total, 27,66 % des candidats qui ont composé ont décroché le diplôme, soit une nette régression de 11,80 % par rapport à l’année dernière quand ce taux avait atteint à 39,46 %, pour 4318 admis. Avec 80 mentions, les séries scientifique on raflé la mise, série C en tête de peloton, décrochant 30 mentions.
La série conserve aussi le premier rang avec 180 lauréats sur les 230 inscris soit 75.32 % de réussite. La série D occupe la troisième place avec 28 mentions, et 547 admis sur le 1165 inscris, elle représente 46,94 % de réussite. La série A2 avec son faible taux d’inscription se place au second rang avec 75 réussites sur le 130 inscris soit 57,70 %. Pour la série A1 avec le 1492 inscris, seulement 476 ont décroché leur bac soit un taux de 38,60 %. Mauvaise appréciation pour la série A4, avec laquelle 8 364 personnes ont été inscris, strictement 1773 ont décroché leur bac soit un taux de 21,19 % avec 15 mentions.
Coup dur pour la série G qui occupe la dernier place, avec 18 lauréats sur les 123 inscris, elle se place au bas du tableau avec un taux de 14,64 %, dont une seule mention. La note la plus élevée est obtenue en série D avec un 19/20 en mathématique, mais aussi en série A4 où l’on a vu un 18/20 en français. Même si des 18/20 sont tombés “comme la pluie“ en science naturelle et en physique chimie, pour les séries scientifiques, il n’a pas été rare, non plus de rencontrer des 18/20 et de 16/20 en philosophie et en français pour les séries littéraires. C’est Farouk Soilihi de la série C qui a obtenu 339/360 points de moyenne.
Le bac fini, l’équation de l’avenir de l’éducation est à l’ordre du jour. Le taux d’échec élevé, interpelle les acteurs de l’éducation à tous les niveaux, et certains poussent à la tenue des Etats généraux de l’éduction.
Nakidine Hassane
La série conserve aussi le premier rang avec 180 lauréats sur les 230 inscris soit 75.32 % de réussite. La série D occupe la troisième place avec 28 mentions, et 547 admis sur le 1165 inscris, elle représente 46,94 % de réussite. La série A2 avec son faible taux d’inscription se place au second rang avec 75 réussites sur le 130 inscris soit 57,70 %. Pour la série A1 avec le 1492 inscris, seulement 476 ont décroché leur bac soit un taux de 38,60 %. Mauvaise appréciation pour la série A4, avec laquelle 8 364 personnes ont été inscris, strictement 1773 ont décroché leur bac soit un taux de 21,19 % avec 15 mentions.
Coup dur pour la série G qui occupe la dernier place, avec 18 lauréats sur les 123 inscris, elle se place au bas du tableau avec un taux de 14,64 %, dont une seule mention. La note la plus élevée est obtenue en série D avec un 19/20 en mathématique, mais aussi en série A4 où l’on a vu un 18/20 en français. Même si des 18/20 sont tombés “comme la pluie“ en science naturelle et en physique chimie, pour les séries scientifiques, il n’a pas été rare, non plus de rencontrer des 18/20 et de 16/20 en philosophie et en français pour les séries littéraires. C’est Farouk Soilihi de la série C qui a obtenu 339/360 points de moyenne.
Le bac fini, l’équation de l’avenir de l’éducation est à l’ordre du jour. Le taux d’échec élevé, interpelle les acteurs de l’éducation à tous les niveaux, et certains poussent à la tenue des Etats généraux de l’éduction.
Nakidine Hassane
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