Feta Ahamada ou “La gazelle“ tel que la surnomme la presse régionale sera présente aux Seychelles pour la conquête d’une seconde médaille ...
Feta Ahamada ou “La gazelle“ tel que la surnomme la presse régionale sera présente aux Seychelles pour la conquête d’une seconde médaille d’or. Médaillée d’or en 100m haies en 2007, la locataire de l’Insep (Institut national des sports) à Vincennes, en France ira aux Seychelles pour défendre son titre de championne.
La jeune sprinteuse a les moyens de parvenir à ses fins si l’on en juge par la bonne saison passée dans le championnat français d’athlétisme où elle évolue depuis 12 ans. Si on lui demande son objectif pour les Jioi 2011, l’originaire de Wela ya Mitsamihuli répond : “je vais faire mieux qu’il y a 4 ans“, tout en reconnaissant que “j‘ai eu des soucis de santé et ma saison a été compliquée donc je vais faire de mon mieux“. Très modeste, cette svelte de 1.60m pour 53kg ne se laisse pas emportée par ses ambitions. Très discrète, Feta n’aime pas trop parler d’elle malgré son palmarès athlétique impressionnant.
Bien qu’elle est encore jeune, Feta propose une fiche technique plutôt flatteuse. Championne de France espoirs de 60m et troisième aux championnats de France élite en 2009, Feta est, entre 2007 à 2010, finaliste aux championnats de France. Elle aligne dans ce lot, ses performances réalisées lors de Jioi 2007, médaillée d’or en 100m haies et d’argent en 100m plat. Actuel partenaire d’entrainement de Olivier Vallaeys à l’Insep, elle a pris part aux championnats du monde en salle à Valence en 2008, puis elle a participé à celui de Doha, au Qatar en 2010. Feta a couru les championnats du monde à Berlin, en Allemagne en 2009 après son retour en 2008 des jeux olympiques.
La jeune sprinteuse a les moyens de parvenir à ses fins si l’on en juge par la bonne saison passée dans le championnat français d’athlétisme où elle évolue depuis 12 ans. Si on lui demande son objectif pour les Jioi 2011, l’originaire de Wela ya Mitsamihuli répond : “je vais faire mieux qu’il y a 4 ans“, tout en reconnaissant que “j‘ai eu des soucis de santé et ma saison a été compliquée donc je vais faire de mon mieux“. Très modeste, cette svelte de 1.60m pour 53kg ne se laisse pas emportée par ses ambitions. Très discrète, Feta n’aime pas trop parler d’elle malgré son palmarès athlétique impressionnant.
Bien qu’elle est encore jeune, Feta propose une fiche technique plutôt flatteuse. Championne de France espoirs de 60m et troisième aux championnats de France élite en 2009, Feta est, entre 2007 à 2010, finaliste aux championnats de France. Elle aligne dans ce lot, ses performances réalisées lors de Jioi 2007, médaillée d’or en 100m haies et d’argent en 100m plat. Actuel partenaire d’entrainement de Olivier Vallaeys à l’Insep, elle a pris part aux championnats du monde en salle à Valence en 2008, puis elle a participé à celui de Doha, au Qatar en 2010. Feta a couru les championnats du monde à Berlin, en Allemagne en 2009 après son retour en 2008 des jeux olympiques.
Dans tous ces grands voyages sportifs, c’est celui de Madagascar que la comorienne s’est distinguée. Elle a permis pour la deuxième fois le “Wudzima wa masiwa“ de retentir au stade Alarobia de Tananarive à Madagascar.
Feta se rappelle que c’est en 2006 que “j’ai commencé à avoir un bon niveau national“. Depuis cette année, la sprinteuse ne cesse pas d’impressionner à chacune de ses sorties à des grandes compétitions sportives mondiales. Elle a pris goût à l’athlétisme notamment à la course de vitesse grâce à la famille Ponthieu Bertram. Cette famille a été, selon la star comorienne “nos voisins“ dont les deux enfants, Lucie et Léo pratiquaient ce sport.
Mais l’athlétisme n’est pas son gagne pain mais reste, avant tout, un loisir. “Ce n’est pas mon métier, précise-t-elle avant de confirmer que je fais des études de droit et je travaille en animation avec les enfants. Je suis également un membre actif des associations “D-Brouy Jeuness et Ngo’shawo“, c’est tout ça ma vie“. Feta s’entraine tous les jours à 10h30 puis à 16h30 après quelques rendez-vous de travail qu’elle dit incontournable. Malgré ces journées souvent “brouillons“, la Nordiste a le soutien de ses parents.
Quand l’enfant chérie du couple Ahamada commençait à enchainer sans arrêt les compétitions “ma mère pensait que cela menacerait ma scolarité. Maintenant toute la famille me soutient et cela m’aide à me dépasser“, confirme celle qui préfère le “mayele ya nazi na dziwa na rugayi“, comme plat national. La pépite comorienne arrive ce 31 juillet à Moroni pour mieux préparer sa conquête de l’or seychellois.
Elie-Dine Djouma:alwatwan
Feta se rappelle que c’est en 2006 que “j’ai commencé à avoir un bon niveau national“. Depuis cette année, la sprinteuse ne cesse pas d’impressionner à chacune de ses sorties à des grandes compétitions sportives mondiales. Elle a pris goût à l’athlétisme notamment à la course de vitesse grâce à la famille Ponthieu Bertram. Cette famille a été, selon la star comorienne “nos voisins“ dont les deux enfants, Lucie et Léo pratiquaient ce sport.
Mais l’athlétisme n’est pas son gagne pain mais reste, avant tout, un loisir. “Ce n’est pas mon métier, précise-t-elle avant de confirmer que je fais des études de droit et je travaille en animation avec les enfants. Je suis également un membre actif des associations “D-Brouy Jeuness et Ngo’shawo“, c’est tout ça ma vie“. Feta s’entraine tous les jours à 10h30 puis à 16h30 après quelques rendez-vous de travail qu’elle dit incontournable. Malgré ces journées souvent “brouillons“, la Nordiste a le soutien de ses parents.
Quand l’enfant chérie du couple Ahamada commençait à enchainer sans arrêt les compétitions “ma mère pensait que cela menacerait ma scolarité. Maintenant toute la famille me soutient et cela m’aide à me dépasser“, confirme celle qui préfère le “mayele ya nazi na dziwa na rugayi“, comme plat national. La pépite comorienne arrive ce 31 juillet à Moroni pour mieux préparer sa conquête de l’or seychellois.
Elie-Dine Djouma:alwatwan
COMMENTAIRES