L'atmosphère est lourde de part et d'autre. Une certaine méfiance persiste entre la police dite nationale et celle appelée police...
L'atmosphère est lourde de part et d'autre. Une certaine méfiance persiste entre la police dite nationale et celle appelée police de l 'ile, depuis que le ministre de l'Intérieur a décidé de «verser» cette dernière dans le corps de la police nationale, pour former un corps unique. Et cela par un arrêté, en date du 8 juin. Malgré cette décision politique, validée par les exécutifs des iles, cette fusion est loin d'être totalement acceptée.
La collaboration tarde à devenir effective tandis que l es contacts ont du mal à se nouer. «Chaque partie reste dans son coin et rien n'a changé. On fonctionne toujours comme avant», fait remarquer un officier de la police «nationale»» A la olice «nationale», un sentiment de frustration semble gagner certains éléments qui auraient manifesté leur mécontentement contre cette fusion qualifiée «d'inappropriée» I ls auraient même menacé de «résister» contre cette décision politique.
«Il a fallu une sommation ferme de la hiérarchie pour «mater» cette ambiance de résistance», nous a confié un officier qui, l ui aussi, est très remonté contre cette décision. «On a placé la charrue avant les bœufs». Selon lui, il demeure beaucoup de «haine» entre les deux parties. Il aurait fallu «d'abord y penser et y trouver un remède»»
Du côté, de l a police de «l'île», on reconnaît cette atmosphère d'incompréhension de part et d'autre.. «Il y a beaucoup de plaies et la réconciliation ne peut pas être mécanique ou politique»», souligne un officier. Ici, on se montre toutefois prêt à dépasser les frustrations, pour autant qu'un effort soit fait, pour mettre tout l e monde sur le même pied d'égalité. Au bout du compte, dit notre source, «on est fier»» d'appartenir à la police nationale, mais «on doit bénéficier aussi des avantages, telles que des bourses de formation, par exemple»» _albalad
La collaboration tarde à devenir effective tandis que l es contacts ont du mal à se nouer. «Chaque partie reste dans son coin et rien n'a changé. On fonctionne toujours comme avant», fait remarquer un officier de la police «nationale»» A la olice «nationale», un sentiment de frustration semble gagner certains éléments qui auraient manifesté leur mécontentement contre cette fusion qualifiée «d'inappropriée» I ls auraient même menacé de «résister» contre cette décision politique.
«Il a fallu une sommation ferme de la hiérarchie pour «mater» cette ambiance de résistance», nous a confié un officier qui, l ui aussi, est très remonté contre cette décision. «On a placé la charrue avant les bœufs». Selon lui, il demeure beaucoup de «haine» entre les deux parties. Il aurait fallu «d'abord y penser et y trouver un remède»»
Du côté, de l a police de «l'île», on reconnaît cette atmosphère d'incompréhension de part et d'autre.. «Il y a beaucoup de plaies et la réconciliation ne peut pas être mécanique ou politique»», souligne un officier. Ici, on se montre toutefois prêt à dépasser les frustrations, pour autant qu'un effort soit fait, pour mettre tout l e monde sur le même pied d'égalité. Au bout du compte, dit notre source, «on est fier»» d'appartenir à la police nationale, mais «on doit bénéficier aussi des avantages, telles que des bourses de formation, par exemple»» _albalad