Le directeur des opérations de Kulak aux Comores, Hakan Erturan, a indiqué hier que près de 82 Comoriens ont été recrutés et qu'il compt...
Le directeur des opérations de Kulak aux Comores, Hakan Erturan, a indiqué hier que près de 82 Comoriens ont été recrutés et qu'il compte employer en tout 250 travailleurs locaux, dans le cadre des travaux de construction du camp servant de base à l a société à Moroni-Itsambouni. «Nous allons démarrer les travaux de construction du site de Mohéli, puis celui d'Anjouan prochainement. Nous voulons recruter, en tout, 250 personnes qui travailleront sur les trois sites», a-t-il annoncé au cours d'un entretien avec Albalad.
Interrogé sur les profils demandés, il a dit : «On a besoin des ouvriers, des interprètes, des femmes de ménages, le chiffre de 250 pourrait évoluer au fur et à mesure. Nous sommes à la recherche d'ingénieurs. Nous avons besoin des gens suffisamment formés dans le domaine de la construction».
Le directeur des opérations aux Comores de la société turque, retenue par le Holding HSS, en vue de réaliser des travaux d'infrastructures dans les trois îles, se donne 5 mois pour Hakan construire la base de Moroni et autant, pour les deux autres bases d'Anjouan et de Mohéli. En attendant, la société va démarrer certaines activités comme c'est déjà le cas, au centre de Moroni où les ouvriers ont entamé l es travaux de réhabilitation de la route du quartier Mboueni. «Il y a des études qui se font mais cela ne peut pas empêcher l e démarrage de certains travaux comme ceux du petit port de Moroni qui vont démarrer très prochainement». Arrivée aux Comores à la demande de la société HSS Holding, la société Kulak, créée en 1954 et i nstallée dans plusieurs pays arabes et d'Asie, est chargée de mener des travaux d'infrastructures dans les trois îles (écoles, hôpitaux, routes, aéroports, ports maritimes, transports publics). Actuellement, elle est dans sa phase d'installation aux Comores. «Nous sommes en train de travailler avec des entreprises locales. Des appels d'offre ont été lancés, d'autres le seront lancés très prochainement. Les difficultés relevées est l'absence d'une bonne partie de compétences et de matériels. On est obligé d'acheter des matériaux à l'extérieur comme le ciment, l e fer, la bitume...», a poursuivi l'ingénieur turc formé à la Texas Unisersity. Invité à donner des détails sur les projets programmés aux Comores, M. Erturan a dit : « i l y a la construction de trois hôpitaux de 150 lits chacun, dans l es trois îles I l y a un prooet d'un aéroport à Mohéli, un port maritime pour faciliter l es échanges et favoriser le flux commercial entre les îles.
«Nous souhaitons faire un transfert de connaissances. Des programmes de formation seront annoncés dans les prochains mois. Notre but aussi est de transmettre des connaissances aux Comoriens... » a indiqué Hakan Erturan, qui a insisté sur l a fait que son entreprise travaillera avec des entreprises comoriennes qui répondent à ses exigences. Interrogé sur l e montant total des fonds qui seront destinés aux projets cités, le chef de la société Kulak aux Comores a répondu : «c'est l e gouvernement comorien et HSS holding qui doivent répondre à cette question. Nous sommes là pour l e développement des Comores. Je dois faire cinq ans ici».
Interrogé sur les profils demandés, il a dit : «On a besoin des ouvriers, des interprètes, des femmes de ménages, le chiffre de 250 pourrait évoluer au fur et à mesure. Nous sommes à la recherche d'ingénieurs. Nous avons besoin des gens suffisamment formés dans le domaine de la construction».
Le directeur des opérations aux Comores de la société turque, retenue par le Holding HSS, en vue de réaliser des travaux d'infrastructures dans les trois îles, se donne 5 mois pour Hakan construire la base de Moroni et autant, pour les deux autres bases d'Anjouan et de Mohéli. En attendant, la société va démarrer certaines activités comme c'est déjà le cas, au centre de Moroni où les ouvriers ont entamé l es travaux de réhabilitation de la route du quartier Mboueni. «Il y a des études qui se font mais cela ne peut pas empêcher l e démarrage de certains travaux comme ceux du petit port de Moroni qui vont démarrer très prochainement». Arrivée aux Comores à la demande de la société HSS Holding, la société Kulak, créée en 1954 et i nstallée dans plusieurs pays arabes et d'Asie, est chargée de mener des travaux d'infrastructures dans les trois îles (écoles, hôpitaux, routes, aéroports, ports maritimes, transports publics). Actuellement, elle est dans sa phase d'installation aux Comores. «Nous sommes en train de travailler avec des entreprises locales. Des appels d'offre ont été lancés, d'autres le seront lancés très prochainement. Les difficultés relevées est l'absence d'une bonne partie de compétences et de matériels. On est obligé d'acheter des matériaux à l'extérieur comme le ciment, l e fer, la bitume...», a poursuivi l'ingénieur turc formé à la Texas Unisersity. Invité à donner des détails sur les projets programmés aux Comores, M. Erturan a dit : « i l y a la construction de trois hôpitaux de 150 lits chacun, dans l es trois îles I l y a un prooet d'un aéroport à Mohéli, un port maritime pour faciliter l es échanges et favoriser le flux commercial entre les îles.
«Nous souhaitons faire un transfert de connaissances. Des programmes de formation seront annoncés dans les prochains mois. Notre but aussi est de transmettre des connaissances aux Comoriens... » a indiqué Hakan Erturan, qui a insisté sur l a fait que son entreprise travaillera avec des entreprises comoriennes qui répondent à ses exigences. Interrogé sur l e montant total des fonds qui seront destinés aux projets cités, le chef de la société Kulak aux Comores a répondu : «c'est l e gouvernement comorien et HSS holding qui doivent répondre à cette question. Nous sommes là pour l e développement des Comores. Je dois faire cinq ans ici».
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