L'épreuve d'éducation physique et sportive pour le baccalauréat, session 2011, n'a pas eu lieu comme prévu mercredi 20 juillet à...
L'épreuve d'éducation physique et sportive pour le baccalauréat, session 2011, n'a pas eu lieu comme prévu mercredi 20 juillet à Mohéli. Les enseignants n'ont pas été convoqués "et même si nous étions convoqués, nous ne serions pas allés. Tant que le nouveau proviseur est là et qu'il est aussi nommé chef du centre", dit I ssa Saïd, professeur d'éducation physique au lycée de Fomboni. selon le chef de l'Office des Examens et Concours à Mohéli (OECM), Adfaon Abdilahi " L'épreuve commencera le jeudi 21 juillet avec l es quelques enseignants en éducation physique et sportive que nous avons sur place. D'ailleurs, nous avons voulu quatre enseignants et nous avons eu l'autorisation de commencer demain", a-t-il conclu. Les travailleurs du port de Moroni s'élèvent contre «les mauvaises conditions de travail» et demandent un débat sur l e contrat qui l ie l e gouvernement et la société Gulf Com, chargée de la manutention. Le contrat de Gulf Com arrive à terme dans deux mois.
Se disant «exploités», ces travailleurs font observer l'absence «de soins médicaux, d'indemnités de risque» malgré les efforts qu'ils déploient «durement» tous les jours au port de Moroni, dénonçant «de bas salaires». I ls déplorent, par ailleurs, l'absence d'un plan de formation de la part du concessionnaire.
«Il y a des heures supplémentaires non payées, en violation de la législation du travail. Il n'y a pas d'assurance. Des gens meurent sans aucune considération, nous ne disposons pas d'équipements de travail adéquats», dit Kaambi Moumine, le secrétaire général du syndicat des travailleurs en manutention et magasinage au port de Moroni (STMMPM).
Ces revendications interviennent à quelques jours du séjour à Moroni de hauts responsables de Gulf Com, en vue du renouvellement du contrat qui arrive à terme en octobre prochain. «Nous voulons sensibiliser l e gouvernement car certains de nos droits sont bafoués, nous n'avons pas de meilleures conditions de vie», précise K. Moumin.albalad
Se disant «exploités», ces travailleurs font observer l'absence «de soins médicaux, d'indemnités de risque» malgré les efforts qu'ils déploient «durement» tous les jours au port de Moroni, dénonçant «de bas salaires». I ls déplorent, par ailleurs, l'absence d'un plan de formation de la part du concessionnaire.
«Il y a des heures supplémentaires non payées, en violation de la législation du travail. Il n'y a pas d'assurance. Des gens meurent sans aucune considération, nous ne disposons pas d'équipements de travail adéquats», dit Kaambi Moumine, le secrétaire général du syndicat des travailleurs en manutention et magasinage au port de Moroni (STMMPM).
Ces revendications interviennent à quelques jours du séjour à Moroni de hauts responsables de Gulf Com, en vue du renouvellement du contrat qui arrive à terme en octobre prochain. «Nous voulons sensibiliser l e gouvernement car certains de nos droits sont bafoués, nous n'avons pas de meilleures conditions de vie», précise K. Moumin.albalad
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