A Ndzuwani, une foule de femmes et de jeunes n'a pas hésité à crier ''Nalawe'' (''dehors'') et à déplo...
A Ndzuwani, une foule de femmes et de jeunes n'a pas hésité à
crier ''Nalawe'' (''dehors'') et à déployer des banderoles avec entre
autres slogans ''Libérer Anjouan de la terreur'', ''Non au pouvoir
illégal'' ou encore ''Pour des élections libres, désarmez les milices''.
La délégation de la communauté internationale, conduite par l'envoyé spécial de l'Union africaine, qui était allée à la rencontre du colonel Bacar, le dimanche 6 mai, fut accueillie, à son retour à l'hôtel Al-Amal à Mutsamudu, par une manifestation hostile aux autorités insulaires. La foule, essentiellement des femmes et des jeunes, amassée à l'entrée de l'hôtel, n'a pas hésité à crier ''Nalawe'' (''dehors'') et à déployer des banderoles avec des comme ''Libérer Anjouan de la terreur'' ou, plus expressif encore, ''Non au pouvoir illégal''. D'autres posent des conditions claires à l'endroit de la communauté internationale ''pour des élections libres, désarmez les milices'' l'appellation en vogue pour désigner la Force de gendarmerie d'Anjouan (fga).
La délégation de la communauté internationale, conduite par l'envoyé spécial de l'Union africaine, qui était allée à la rencontre du colonel Bacar, le dimanche 6 mai, fut accueillie, à son retour à l'hôtel Al-Amal à Mutsamudu, par une manifestation hostile aux autorités insulaires. La foule, essentiellement des femmes et des jeunes, amassée à l'entrée de l'hôtel, n'a pas hésité à crier ''Nalawe'' (''dehors'') et à déployer des banderoles avec des comme ''Libérer Anjouan de la terreur'' ou, plus expressif encore, ''Non au pouvoir illégal''. D'autres posent des conditions claires à l'endroit de la communauté internationale ''pour des élections libres, désarmez les milices'' l'appellation en vogue pour désigner la Force de gendarmerie d'Anjouan (fga).