Comores, Dette et Dictature : Une Alliance Destructrice ! Cet archipel paradisiaque se trouve plongé dans les méandres d'une dette publique vertigineu
Comores, Dette et Dictature : Une Alliance Destructrice !
Sous le ciel étoilé des Comores, une lutte doit être menée. Les Comoriens, les Mohéliens et les Anjouanais, résistants intrépides face à l'implacable oppression de la dictature brutale d'Azali, aspirent ardemment à un avenir plus radieux. Cependant, un fardeau financier monumental s'est abattu sur leurs épaules, une charge qu'ils portent, qu'ils le veuillent ou qu'ils soient sous l'emprise persistante d’une puissance étrangère.
Cet archipel paradisiaque se trouve plongé dans les méandres d'une dette publique vertigineuse, une réalité dont la Banque Centrale des Comores a révélé l'ampleur en 2022. Les chiffres sont saisissants : la dette totale publique atteint désormais 189,3 milliards de KMF, soit près de 403 millions de dollars américains. Une hausse spectaculaire de 100 milliards de KMF depuis 2017, lorsque la dette se limitait à 90 milliards de KMF, met en lumière l'aspect sombre de l'aide financière étrangère qui oppresse Ngazidja-Comore, Mohéli et Anjouan sous le règne du dictateur Azali.
Ce qui est encore plus frappant, c'est que les Comoriens, les Mohéliens et les Anjouanais n'ont jamais vu la couleur de cet argent, pris à leur insu, et qui les maintient aujourd'hui dans les chaînes de l'asservissement financier.
Cette dette colossale, insidieuse pour la plupart, impose une pression implacable sur la vie des Comoriens, des Mohéliens et des Anjouanais. Elle maintient ces îles de notre archipel, à l'exception de l'île de Mayotte sous administration française, dans un état de dépendance financière tout en favorisant les intérêts occidentaux. Tel une enclume, elle entrave le développement et l'émancipation économique et politique de ces nations, les enfonçant inexorablement dans les abysses de la misère.
L'aide étrangère, revêtant le masque de la bienveillance envers le développement, se révèle être un fardeau insupportable, en particulier pour notre archipel qui endure déjà depuis 1975 un système inadapté à notre insularité : le centralisme de l'État comorien, système qui engendre la pauvreté et la misère.
Nos dirigeants, assujettis aux intérêts étrangers, se voient souvent contraints de solliciter ces prêts, mais à quel coût ? Les conditions qui les accompagnent sont souvent opaques et oppressantes, laissant peu de marge de manœuvre. Pire encore, la majeure partie des fonds alloués à l'aide au développement disparaît dans les méandres de mécanismes complexes et corrompus.
La justice de Ngazidja-Comore, Mohéli et Anjouan, étant sous la botte d'Azali, se révèle incapable d'enquêter de manière impartiale sur ces méfaits et de garantir l'application rigoureuse du droit.
Face à cette impasse, l'opposition, constituée de figures incontestablement intègres, doit sérieusement envisager de saisir la Cour Pénale Internationale (CPI) pour enquêter sur les crimes financiers manifestes dans l’archipel des Comores.
La CPI, en vertu de son Statut de Rome, possède l'autorité et la compétence nécessaires pour juger les individus impliqués dans de tels crimes. En particulier, l'article 7 du Statut de Rome, qui définit les crimes contre l'humanité, pourrait s'avérer pertinent pour réprimer toute atteinte systématique et généralisée aux droits économiques et financiers des citoyens Comoriens, Mohéliens et Anjouanais.
L'article 8 du Statut de Rome traite des crimes de guerre, offrant ainsi une base juridique pour enquêter sur toute mauvaise utilisation des ressources financières dans un contexte de conflit politique.
Saisir la CPI serait une démarche cruciale pour garantir que les responsables de ces actes soient tenus pour coupables devant une instance internationale impartiale, contribuant ainsi à rétablir l'équité et la justice au sein de notre archipel. Cette action renforcerait la crédibilité de la lutte contre la corruption et les abus financiers, tout en rappelant que la justice transcende les frontières nationales lorsque les institutions locales ne peuvent remplir leur rôle avec intégrité et impartialité.
L'heure est venue pour les Comoriens, les Anjouanais, les Mohéliens, et tous ceux qui aspirent à un avenir meilleur, de se lever collectivement face à l'oppression brutale du régime sanguinaire d'Azali.
Azali, en tant qu'agent d'intérêts étrangers, est devenu l'ennemi principal de tous, un vassal de l'Occident qui compromet notre bien-être et notre souveraineté.
Il est temps de nous organiser avec intelligence, de mettre de côté nos différences, y compris les divisions ethniques et insulaires, et de forger une unité qui transcende les barrières politiques. Le moment est propice pour nous débarrasser de cette dictature qui étouffe nos aspirations à la liberté, à la dignité et au progrès.
À bas l'Union pernicieuse des Comores !
Que prospère notre inlassable quête de liberté et de dignité !
Que brille un avenir où la justice et l'égalité seront les piliers de nos peuples insulaires !
Que vive l'État souverain d'Anjouan !
Anli Yachourtu JAFFAR
21 septembre 2023
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