Et si, c'est possible ! Ministre de fonction publique pendant la présidence insulaire de M. Abdou El-wahab, les trois-cent-cinquante instituteurs admi
Un peuple perdu, avec un passé douloureux, un présent pénible et un futur incertain. La malédiction comorienne tape à chaque fois beaucoup plus dur, beaucoup plus fort que l'on imagine. Qu'est-ce que ce peuple a fait au bon Dieu.
Au contraire, Allah nous a donné tout ce qu'il faut pour vivre bien sur terre.
Des îles paradisiaques, un paysage magnifique, une belle mer, un canal qui
constitue un carrefour maritime et des forêts fructueuses, bref les Comores
sont un jardin sur terre. En outre, il nous a conduit avec une croyance
monothéiste, la religion musulmane qui ordonne la bonne conduite, la vérité,
la confiance et la bienfaisance et qui condamne le mensonge et la méfiance.
Et si les comoriens et les comoriennes sont-ils des musulmans? On aurait vire
bien avec notre tourisme, notre recette douanière, notre pêche, notre
agriculture, nos recettes de la préfecture, de l'état civil, de la poste, de
la justice et de toute autre instance qui remporte de l'argent à la caisse de
l'Etat. En ceci, s'ajoute le gros lot comorien, telle la diaspora. Oui,
celle-ci, malgré tout ce que l'on peut dire, elle est, en tout cas de mon
avis, le seul espoir d'un avenir meilleur pour ce pays. La bonne exploitation,
la structuration de celle-ci ne serait autre qu'un second pétrole.
Et si les ulémas arrêtent de mentir! Les menteurs seront bannis et la
confiance regagnerait le pays et tout irait dans le bon sens. Et si, c'est
vrai, il y aura des élections libres et transparentes en 2024!
Dans cet optique, l'homme qui ne mâche pas ses mots en matière de transparence
et de confiance se porte comme la solution. Il a montré ses preuves pendant le
'pas', un programme d'ajustement structurel qui a eu lieu à l'époque quand
notre pays avait perdu la confiance vis-à-vis de la banque mondiale, Saandi
Assoumani a été la solution.
Ministre de fonction publique pendant la présidence insulaire de M. Abdou
El-wahab, les trois-cent-cinquante instituteurs admis à la fonction publique
ont, bien sûr, leur mot à dire. Quand le respect de la loi et de l'égalité est
mis à pieds, Saandi Assoumani a été la solution.
L'expert international a travaillé dans plus de quatorze pays et à chaque
fois, il montre sa compétence et sa rigueur en face du défi. Il a été la
solution en Côte d'ivoire, au Congo, au Burundi, au Sénégal, en Cap vert et
j'en passe. Sommes-nous prêts, comoriens et comoriennes, à bénéficier cette
manne de notre fils ou continuons-nous le chemin habituel de mensonge et de
méfiance?
MMADI MALIK Hakim
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