Les milices d’Azali Assoumani ont encore une fois sorti leurs griffes contre le peuple au lieu d'aller libérer l’île comorienne de Mayotte occupée par
Les milices du Colonel Azali Assoumani ont encore une fois sorti leurs griffes contre le peuple au lieu d'aller libérer Mayotte. Comme à l’accoutumée elles ont fait usage de bombe lacrymogène pour disperser la foule lorsque celle-ci essaye de scander '' Azali nalawe''.
Le meeting populaire d'hier 27 mai, qui a rassemblé au-delà des partis et des organisations politiques, a fait peur au régime au point de déployer tout son arsenal militaire et son stratagème pour étouffer la marée humaine qui était prête à envahir MORONI pour dénoncer UHAMBUSHU et la balkanisation de l'union des Comores par la France avec la complicité du traitre de la nation et insouciant Colonel Azali Assoumani.
En effet, hier encore une fois ce régime a montré sa duplicité de langage qui dit haut et fort ce qu'il ne fait pas tout bas (hypocrisie). Tout bas, ce régime courbe l'échine et tout haut il gonfle ses petits muscles mous.
Hier, encore une fois, ce régime a rompu son lien avec son peuple en usant de sa force pour empêcher le peuple d'exprimer son ras-le-bol face à une France qui humilie la nation et viole l'intégrité territoriale au mépris des Comoriens et de la communautés des nations unies qui ont entériné l'indépendance des Comores constituées de quatre îles Mayotte, Anjouan, Mohéli et Grande Comores.
Hier encore une fois, ce régime sanguinaire a montré que sa seule force repose sur les armes et ses milices payées et chéries avec l'argent du contribuable pour accomplir sa misérable et nuisible mission de tuer et réprimer tous ceux et celles qui osent dire NON au ROI AZALI 1er qui construit petit à petit sa dynastie BOINAHERIENNE de MBOUDADJU…
Hier, encore une fois, ce régime tortionnaire a montré que l'on ne peut lui faire confiance et qu'il est déterminé à tuer et à faire usage de la force pour se maintenir au pouvoir aux prochaines mascarades électorales qu'il essaye d'organiser après avoir éliminé tous ses opposants et nommé ses proches pour diriger les organes chargées des élections. Restons debout et mobilisés pour faire tomber ce régime par un soulèvement populaire, qui reste la seule option possible.
AMS (Paris)
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