Le centralisme d’État est un système qui consiste à centraliser les institutions administr.Mettons fin au centralisme dictatorial de l’État comorien !
Mettons fin au centralisme dictatorial de l’État comorien !
Ce système est-il adapté à notre pays insulaire aux us et coutumes variées, aux histoires, vernaculaires, folklores, cultures et mentalités diverses, à l’exception de la religion ?
Non, absolument pas ! Il ne l’est pas. Le système actuel en Union des Comores, ne prend pas en compte les spécificités de chaque île de l’archipel et ne permet pas de répondre aux besoins et aspirations des différents peuples qui composent l'archipel.
Il est important de considérer les contextes culturels et sociaux uniques de chaque île pour un système plus efficace. Une solution idoine pourrait être la création d'une Union des États ou la Confédération des États insulaires, qui prendrait en compte les contextes uniques de chaque île tout en maintenant une unité entre elles.
Les peuples de chaque île ne sont pas responsables de ce système inique qui plonge l'archipel dans une situation de disette chronique, de pauvreté profonde et de misère abyssale, les responsables sont les élites politiques obsédées par l'argent et l'arrivisme, sans foi et dénuées de tout sens moral ou éthique, et peu ou pas du tout soucieuses des préoccupations des gens.
On peut se poser maintenant la question : Pourquoi depuis le 6 juillet 1975, jusqu'à nos jours, ce système centraliste d'État est-il encore en vigueur en Union des Comores ?
La réponse est simple : Il a été conçu et imposé pour bloquer le développement socioéconomique, empêcher le progrès, créer des divisions, semer la discorde entre les peuples et maintenir le chaos sous contrôle afin de conserver le statuquo quant à la position de Mayotte. Le peuple mahorais qui n’a jamais voulu être comorien, ne peut que s’en réjouir, car il est préservé de nos problèmes.
Ce centralisme d’État, qui consiste à centraliser et concentrer les pouvoirs, expose le pays à des risques d’accaparement par des individus criminels qui accèdent au pouvoir suprême de l’État, quelle que soit la manière. C’est le cas avec l’avènement au pouvoir à maintes reprises, du dictateur sanguinaire Azali et de son clan. Ces individus sont souvent dénués de tout humanisme. Ils peuvent tuer pour se débarrasser de qui ils veulent à tout moment. Pour ne citer qu’un seul exemple : le meurtre de leur serviteur à la CNI, le docteur Ahmed Djazza.
Qui bénéficie du système centraliste d’État en Union des Comores, en particulier de son emplacement central à Moroni ?
Ce système de centralisme d'État a permis au sanguinaire Azali de s'accaparer indéfiniment du pouvoir. Il l’utilise pour piller nos maigres ressources et se comporter comme une sangsue sur la peau de nos peuples, les ruinant complètement. Pour ce faire, il doit veiller à ce que tous les engagements pris et tous les contrats scélérats et inéquitables signés avec l’étranger, soient respectés. Il est au service des intérêts étrangers et soutient les intérêts étrangers plutôt que ceux de son propre pays.
En contrepartie, il a toute liberté pour massacrer qui il veut, et cibler puis broyer les Anjouanais qu'il hait. Il se fixe un budget exorbitant, abusif pour sa caisse noire, des per diem faramineux de plus de 2000€ par jour lors de ses déplacements fréquents à l'étranger et s'octroie un salaire colossal de 9 611€, qui est même plus élevé que celui du président français qui est de 8500€ net mensuel. Cela contraste fortement avec la précarité de la vie des peuples qui survivent sous le seuil de pauvreté avec moins de 1€ par jour. Et dire que l'Union des Comores vit sous perfusion de l’aide internationale.
Ce système permet à la souillure d’Azali, le nègre de maison de l’étranger et son clan, ainsi qu'à l'élite politique de Ngazidja-Comore, de bénéficier des avantages économiques en garantissant la continuation des accords commerciaux léonins avec leurs partenaires étrangers et en répondant aux intérêts des lobbys étrangers qui exigent la primauté des marchés et l'exécution des projets financés par des aides ou des dons, plutôt que de servir les intérêts réels et les besoins des peuples de l'archipel.
Ce système centraliste d'État, en particulier basé à Moroni, sert donc principalement les intérêts de ces groupes au détriment des peuples des trois îles de notre archipel.
Reformons ce centralisme d'État pour le droit et l’équité !
Il est temps d’exiger la refondation des institutions inadaptées et du système injuste qui nous lèse depuis le 6 juillet 1975, pour favoriser une répartition plus équitable des ressources, des dons, des aides ou richesses.
Pour garantir un avenir paisible et harmonieux, il est impératif de nous rassembler pour combattre ce système centraliste injuste qui met nos intérêts en danger, renverser la dictature sanguinaire qui nous prive de nos libertés fondamentales, qui nous persécute et qui nous tue, et lutter contre les inégalités, la pauvreté et la misère qui persistent à plonger notre île dans un cycle de développement qui non seulement stagne mais aussi recule.
En résumé, il est important de mettre fin au centralisme dictatorial de l'État comorien pour garantir un développement socioéconomique équitable et respectueux des spécificités culturelles et sociales de chaque île.
S'agissant des Unionistes anjouanais dans l'opposition comorienne :
Malheureusement, le système centraliste de l’État comorien, qui concentre le pouvoir et les décisions qui concernent notre vie à Ngazidja-Comore, est facilité et cautionné par des cadres d’Anjouan prétendument de l’opposition, même si cela entraîne des souffrances, de la pauvreté et de la misère pour tout un peuple. Ces individus bien connus sont des ennemis d’Anjouan et doivent être dénoncés et combattus. Ils sont des traîtres aux intérêts d’Anjouan.
Les cadres anjouanais qui se prétendent être des Unionistes de l'opposition ne peuvent être que des opportunistes rampants et des égocentriques avec des mentalités complètement asservies, donc dangereux, et doivent être combattus.
Anjouanais, Unissons-nous pour mettre fin au régime dictatorial et à ses complices qui nuisent à notre vie quotidienne. Agissons ensemble pour exiger une refonte du système et des institutions, pour l'avenir de notre île et de notre peuple !
À bas l’Union maléfique des Comores !
Vive l’État souverain d’Anjouan !
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