Que dire de plus. Rien.Vraiment rien. Quand j'ai vu la nouvelle, j'ai eu du mal à croire. Ali Amir Ahmed ne pourrait pas qui...
Que dire de plus. Rien.Vraiment rien.
Quand j'ai vu la nouvelle, j'ai eu du mal à croire. Ali Amir Ahmed ne pourrait pas quitter le métier qu'il aime. Il ne peut pas changer de métier après 24 ans. Parcourant un peu sur ton mur, je n'ai rien vu. Étonnant. Je me suis dit, ce n'est pas vrai. Au fil des heures, j'ai pu constater que c'était vrai.
Tu prends congé cher fundi et que tu te donnes une mission presque impossible. J'ai appris que tu deviens le collaborateur direct d'un "dictateur", de l'homme qui a transformé le héros nationale en zéro. J'ai appris aussi que tu travailles avec ceux qui n'arrêtent pas de voler et de détourner le choix du peuple.
Tu prends congé cher fundi et que tu te donnes une mission presque impossible. J'ai appris que tu deviens le collaborateur direct d'un "dictateur", de l'homme qui a transformé le héros nationale en zéro. J'ai appris aussi que tu travailles avec ceux qui n'arrêtent pas de voler et de détourner le choix du peuple.
Je sais que tu es capable de faire ton nouveau job cher enseignant et que tu aimes relever les défis mais les diables ne pourront jamais se transformer en humain. C'est pour cela que ta mission est "irréalisable". Déjà, Assises de la presse, organisées par Beit salam c'est presque du pipo.
N'oublie pas qu'il a fait tomber à l'eau presque tous ses collaborateurs, ses amis: Djaffar Said, Karihila, Campagnard, SAST. En tout cas, personne ne peut t'enlever le sacré boulot que tu as réalisé lors de ton passage à Alwatwan.
Cher fundi contrairement aux autres, je place toujours confiance en toi malgré ton engagement sur une mission impossible.
J'ai juste un seul rappel : n'oublie pas de faire tout ce qui sera dans ton pouvoir pour libérer le gamin de 21 ans qui croupit en prison : Mchangama Oubeid Athouman. La presse vient de perdre l'un de ses piliers. Qu'Allah bénisse les Comores.
Par Mbae Ali
Par Mbae Ali
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