Les Comores pourraient s'exposer à des sanctions, selon des indiscrétions des milieux autorisés, si les autorités Comoriennes n'i...
Les Comores pourraient s'exposer à des sanctions, selon des indiscrétions des milieux autorisés, si les autorités Comoriennes n'infléchissement pas leur position. La source n'indique pas la nature des sanctions. Mais en général l'organisation Panafricaine agit de façon graduelle, une façon de permettre aux protagonistes de reprendre le dialogue.
S'agissant de la conférence de presse du ministre des Affaires étrangères Comorien Amine Souef, ce dernier a tenté de minorer la portée des recommandations faîtes suite au déplacement d'une délégation continentale, au cours d'un séjour de quatre jours.
Aucune déclaration n'a été faite, ce qui laissait présager, la déconvenue que nous vivons aujourd'hui à travers cette déclaration de L'UA. L'opposition ne doit pas percevoir cette déclaration comme étant un gain obtenu d'une lutte menée.
C'est plus un encouragement à l'intensification de celle-ci, il ne faut pas non plus qu'elle veuille compenser ses carences, par l'intervention de l'UA pour obtenir les concessions acceptables pour leur permettre de revenir à la table de négociations. Selon les mêmes sources L'UA a [next] été frappée par le projet de constitution; alors qu'elle pensait plutôt avoir à faire à une révision.
En effet l'ossature de la constitution actuelle a été complètement chamboulée. Nous sommes bien en face d'une nouvelle République qui ne dit pas son nom. Pour ma part je suis très surpris de l'appréciation portée et l'interprétation faite par un aussi brillant diplomate qu'est mon frère Amine.
Doit- il me permettre de lui rappeler que tous les peuples ne sont pas les mêmes, son analyse consistant à évoquer les critères retenus pour que l'on considère comme étant un pays en crise ne peuvent êtres transposés aux Comores. Un pays où si vous comptez au delà de cinq générations on a un lien de famille, nous sommes un peuple particulier, ne pas perdre de vue cette spécificité. L'exigence d'une liberté est tout à fait légitime, le régime doit en tenir compte. Daoud Halifa
Aucune déclaration n'a été faite, ce qui laissait présager, la déconvenue que nous vivons aujourd'hui à travers cette déclaration de L'UA. L'opposition ne doit pas percevoir cette déclaration comme étant un gain obtenu d'une lutte menée.
C'est plus un encouragement à l'intensification de celle-ci, il ne faut pas non plus qu'elle veuille compenser ses carences, par l'intervention de l'UA pour obtenir les concessions acceptables pour leur permettre de revenir à la table de négociations. Selon les mêmes sources L'UA a [next] été frappée par le projet de constitution; alors qu'elle pensait plutôt avoir à faire à une révision.
En effet l'ossature de la constitution actuelle a été complètement chamboulée. Nous sommes bien en face d'une nouvelle République qui ne dit pas son nom. Pour ma part je suis très surpris de l'appréciation portée et l'interprétation faite par un aussi brillant diplomate qu'est mon frère Amine.
Doit- il me permettre de lui rappeler que tous les peuples ne sont pas les mêmes, son analyse consistant à évoquer les critères retenus pour que l'on considère comme étant un pays en crise ne peuvent êtres transposés aux Comores. Un pays où si vous comptez au delà de cinq générations on a un lien de famille, nous sommes un peuple particulier, ne pas perdre de vue cette spécificité. L'exigence d'une liberté est tout à fait légitime, le régime doit en tenir compte. Daoud Halifa
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