..POURQUOI MRIMDU SALIT LA MÉMOIRE D'ALI SOILIHI Depuis la campagne des dernières élections Mrimdu a perdu ses repères, il n'a...
..POURQUOI MRIMDU SALIT LA MÉMOIRE D'ALI SOILIHI
Depuis la campagne des dernières élections Mrimdu a perdu ses repères, il n'a de tête que d'obéir à la voix de son maître à penser avec une docilité hors norme quitte à perdre sa grandeur. Ce qui ne devrait pas arriver, lui arriva et pour un rôle au fond du back-office.
Ici on est d'entrée dans une école dite nouvelle stratégie politique - l'emploi, à défaut d'être à la hauteur face à l'actualité, il faut renverser le tout en faisant du simple : écraser les morts qui sont dans l'Histoire pour faire du Grand.
Ceci consiste à rehausser les vivants au plus haut point de visibilité dans l'actualité. Concrètement il s'agit de rabaisser l'excellence au même niveau que l'arbre senteur de la banalité.
Le mal est ainsi déjà fait sur des morts qui ne peuvent jamais se justifier, On remet la nausée produite dans un jeu de ping-pong, c'est-à-dire ouvrir un débat qui ne sert à rien, on badigeonne et le tour est joué.
Dans le contexte Mdrimdu portera les boulets longtemps à la place des chaussures. Il a aussi oublié malgré son intelligence qu'il y a des morts qui sont vivants, ceux qui sont portés par l'Histoire, que les vivants non morts haïssent ou pas.
Le piège se referme sur notre ami. La pièce produite ne peut plus servir à valider la grandeur de ses vivants. Trop tard le fait inverse se produira coûte que que coûte, et suite aux commentaires qui circulent cette fois à travers les réseaux téléphoniques.
Je continue de m'interroger comment nous pouvons haïr autant les morts pour que mon très cher Mrimdu vient adresser le pardon à Dini Nassur et Ali Abdoulwahab dans un petit commentaire bien dissimulé sous FB pendant qu'il a réservé une bonne page sur le même réseau social pour salir la mémoire d'Ali Soilihi.
Bref, on jette du vomi violent à l'autre même mort à la place publique et on vint dans un coin dans la nuit noire lui présenter un pardon irrespectueux. C'est l'acte du cynisme le plus déplaisant du comorien.
Le 06/05./2018
Hadji Mouigni