AZALI entraîne les Comores dans une spirale d'une violence lourde. Il pense se maintenir durablement en dehors de toute opposition, san...
AZALI entraîne les Comores dans une spirale d'une violence lourde. Il pense se maintenir durablement en dehors de toute opposition, sans entrave d'aucune juridiction et marchandant le pétrole à sa guise. Voilà le rêve de notre colonel qui s'est déstabilisé à moins de deux ans d'un quinquennat tournant entre les îles.
Nous vivons dans un monde où tout se sait, tout se cache mal. La démocratie se veut être la vitrine d'un monde dominé par les puissances capitalistes et démocrates dans ce que l'on désigne aujourd'hui par la mondialisation. AZALI s'est livré aux exercices les plus anti démocratiques qu'un despote puisse commettre.
Conscient des plaintes que l'opposition déposent auprès des institutions et juridictions internationales et régionales, AZALI aurait donner ordre à son Ministre de l'intérieur d'empêcher le départ de toute autorité de l'opposition vers l'extérieur. Une décision, s'elle est confirmée, très grave sur les restrictions des libertés. J'appelle les gouverneurs à l'unité et qu'ensemble avec l'Union de l'opposition lance le peuple à la rue, la seule alternative qui pourrait être le moyen de permettre le sursaut de la communauté international, en particulier la France et l'Union Africaine.
L'armée quant à elle prendra son entière responsabilité dans cette terrible situation. L'armée est assez conscientisée et sensibilisée sur les desseins dangereux de leur Chef contre la nation q'elle est sensée défendre. Tous ceux qui osent parler de l'armée finissent en prison et nos hommes aux robes se rendent complices du premier magistrat.
Je suis persuadé que la dictature échouera et j'appelle l'opposition, les gouverneurs à ne pas céder.
Aux vices Présidents, tant pis s'ils choisissent bêtement la sortie!
Par Ben Ali Combo