Les extractions de sable à l'intérieur de la mer à pris d'ampleur dans ces zones, alors la mer gagne du terrain. Une fois la mer ...
Les extractions de sable à l'intérieur de la mer à pris d'ampleur dans ces zones, alors la mer gagne du terrain. Une fois la mer agitée, les conséquences sont vite visibles. Chaque jour la mer grignote la terre et si la population des villes côtières ne protège pas les cotes par l’arrêt de l'extraction du sables, la menace sera toujours là.
Voilà les conséquences, j'appelle le gouvernement comorien à prendre sa responsabilité le plus vite possible parce que à l’heure du changement climatique, l’impasse pourrait coûter cher. NB: La plupart des routes comoriennes datent de la période coloniale et l'Etat comorien ne fait pas d’efforts pour les rénover.
Selon le dernier rapport du GIEC, le niveau de la mer doit en effet s’élever entre 23 cm et 51 cm ou entre 20 cm et 43 cm. S’il est impossible de fixer le trait de côte, il est donc fortement conseillé « d’anticiper les phénomènes physiques d’érosion côtière et de submersion marine par une bonne connaissance des écosystèmes côtiers et l’impact du changement climatique ».
Autre préoccupation : la population des départements littoraux doit s’accroître de 18,7% entre 2007 et 2040 selon une projection de l’Insee, ce qui risque d’aggraver la vulnérabilité du littoral. Yassir Allaoui - Photo: Une route (Moya - Mutsamudu) s'est effondrée sur l’île d'Anjouan.
