Le Président Azali et sa faculté d'anticiper le point d'arrivée, c'est-à-dire : [ndahula radzo rende mawudu yeka mgwa vendze ! ...
Le Président Azali et sa faculté d'anticiper le point d'arrivée, c'est-à-dire : [ndahula radzo rende mawudu yeka mgwa vendze ! l'émergence à l'horizon 2030]. Bénédiction Monsieur le président.
On doit abandonner cette attitude toujours négative qui limite le potentiel de l'élite comorienne. Pour la première fois qu'un chef de l'Etat comorien ose montrer une faculté d'anticiper son point d'arrivée « l'émergence du pays à l'horizon 2030 », notre intérêt vital est de l'accompagner.
Nous devons enfin, entrer en communion avec notre pays (les assises annoncées) pour faire un constat et constater qu'aux Comores, le copier-coller et le couper-coller des programmes occidentaux, cela ne marchera jamais. Nous devons comprendre aussi, que l'occupant ne s'appelle plus la France, ne nous trompons plus de cible. L'occupant, notre occupant, s'appelle la misère, et nous ne devons plus signer l'armistice avec elle en inventant un prétexte consistant à reporter la faute sur l'autre.
Cette occasion venue saisissons-là.
Ici et maintenant qu'on a un président qui anticipe à volonté sa photographie de ce qui lui semble l'image du futur de notre pays. Il appartient maintenant à son équipe de nous montré d'une manière claire, les techniques et les méthodes envisagées pour y arriver. C'est d'ailleurs cela qui montrera la différence entre un « rêve » qui ne montre jamais le comment faire, et ce projet que nous soutenons avec force et détermination. Ce projet que le président a nommé « Emergence ». Un projet apparemment médité et examiné par le président lui-même et par son équipe.
Aussi, il faudra faire apparaître la différence entre le simple citoyen et le dirigeant politique. Cette différence doit être claire aux yeux de tous, car malheureusement aujourd'hui ces deux catégories, le politique et le simple citoyen, sont confondues aux Comores. Il est difficile voire impossible de distinguer les propos d'un homme politique Comorien qui s'apprête à prendre la direction du pays et ceux d'un simple citoyen qui ne s'intéresse qu'au temps présent.
Le camarade Mrimdu ose dire que la différence entre un citoyen et un dirigeant politique, c'est la découverte de solutions et la faculté d'anticiper le point d'arrivée. Ce dernier veut dire: [ndahula radzo rende mawudu yeka mgwa vendze ! l'émergence à l'horizon 2030]. Ce point d'arrivée conditionne toutes les réflexions et le programme du quinquennat Azali (2016-2021).
C'est cette faculté d'anticiper le point d'arrivée qui va au-delà de sa mandature, qui fait l'originalité de l'Imam Azali.
C'est cet envie d'expliquer aux comoriens et aux comoriennes, sa photographie anticipée, qui marque sans jalousie la différence entre ce que nous avons toujours vécus durant ces 42 dernières années. Alors oui, pour la première fois qu'un président comorien ose anticiper le point d'arrivée (son état désiré, son but…) et l'exposer devant les comoriennes et comoriens, apportons Bénédiction!
Mrimdu
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