Il a pris l’engagement solennel d’alimenter en eau la capitale et ses environs dans 3 mois au plus tard, soit d’ici fin mars. Le vice-prési...
Il a pris l’engagement solennel d’alimenter en eau la capitale et ses environs dans 3 mois au plus tard, soit d’ici fin mars. Le vice-président chargé de l’énergie a, à cet effet, effectué une visite à la station de pompage de Vouvouni pour constater de visu l’état actuel du site, en attendant l’arrivée de Maurice des pompes hydrauliques censées dénouer la crise.
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En ce qui concerne ces pompes, il s’avère que deux sur trois sont opérationnelles (Rectificatif : dans notre édition du mercredi 3 janvier, nous avions écrit, par inadvertance, qu’il n’y avait qu’une seule pompe en marche sur trois, au lieu de deux sur trois). Ce qui, à entendre le vice-président, ne devrait pas compliquer la tâche. Aux abords d’un puits de 36 mètres de profondeur, le vice-président Djaffar a pris un autre engagement, toujours pour l’eau : celui de multiplier les puits, car pour lui les trois actuels sont « moins nombreux au regard des besoins ». « Tout le temps la ville s’élargit.
La population aussi. Il faut donc viser dans l’avenir », s’est-il justifié devant son cabinet et des techniciens de la Ma-Mwe. Rappelons que c’était le mardi 3 janvier que le premier vice-président avait réuni touts les dirigeants des institutions sous sa tutelle. Devant eux, il avait exigé aux responsables de l’eau de trouver une solution « d’ici trois mois », pour que l’eau coule au moins « de Vouvouni à Moroni ». A l’occasion de cette visite qu’il a effectuée à Vouvouni mardi dernier, il a promis que le gouvernement va mettre « tous les moyens » pour que le problème soit résolu.
TM, La Gazette des Comores