chiites aux Comores
Ce n’est plus une chasse aux sorciers que le gouvernement mène contre la pratique de chiisme au Comores mais plutôt une simulation. Selon de sources dignes, parait-il que le ministère de l’intérieur négocie avec des chiites avant leur arrestations et détentions. Une manière de faire la promotion de ministère mais aussi pour se fidéliser devant l’Arabie Saoudite.
Photo d'archives. Mahmoud Abdallah Ibrahim, imam d'une mosquée chiite au cœur de Mutsamudu ©La rédaction |
Avec ses pratiques des arrestations planifiées, suivies de libération sans jugement, le gouvernent croit avoir gagner de la crédibilité au près du royaume et les chiites reçoivent de l’argent. Des actes graves pour le ministère de l’intérieur et décriés par certains chiites qui ont refusé l’offre.
« Avant de vouloir connaitre la vérité, demandez-vous la suite des chiites qui sont arrêtés et quel jugement ont-ils eu. Ils se sont libérés le lendemain et sans suite », a-t-elle montré notre source. Lui d’ajouter que « le ministère continu de négocier avec des chiites reconnus pour qu’ils arrêtent même sans détention ».
« Avant de vouloir connaitre la vérité, demandez-vous la suite des chiites qui sont arrêtés et quel jugement ont-ils eu. Ils se sont libérés le lendemain et sans suite », a-t-elle montré notre source. Lui d’ajouter que « le ministère continu de négocier avec des chiites reconnus pour qu’ils arrêtent même sans détention ».
©Nakidine Hassane