VIDÉO - Pour les épreuves du code, les candidats vont avoir de nouvelles images, de nouvelles questions. Un changement qui interviendra à co...
VIDÉO - Pour les épreuves du code, les candidats vont avoir de nouvelles images, de nouvelles questions. Un changement qui interviendra à compter du 18 avril. Mais d'autres nouveautés vont suivre. Notamment le prix de l'examen qui sera de 30 euros alors qu'il est aujourd'hui gratuit.
Des nouvelles images et de la vidéo pour passer les épreuves du code.
À compter du 18 avril prochain, la nouvelle banque de photos destinée aux examens du code sera soumise aux candidats. Ce toilettage qui permet de dépoussiérer ce stock ancien intègre de nouveaux clichés avec vues aériennes mais aussi, et c'est nouveau, des vidéos. Par ailleurs, le volume des diapositives augmente passant de 700 aujourd'hui à 1015.
Des questions qui font davantage appel au bon sens du candidat.
Les questions ont aussi été formulées autrement pour davantage faire appel au bon sens du candidat. Par ailleurs, une formation plus poussée sera faite sur les usagers vulnérables, l'écoconduite, les nouvelles technologies, les gestes de premier secours. Selon Emmanuel Barbe, le délégué interministériel à la sécurité routière, «cet enseignement nécessitera plus de pédagogie». En clair, on fera moins appel à du par cœur qu'à l'intelligence du futur conducteur.
Il faudra bien choisir son auto-école
Le candidat aura donc tout intérêt à bien choisir son auto-école en s'assurant que la formation est bien accompagnée et non exclusivement basée sur du visionnage de «diapos». Or pour certains syndicats d'auto-écoles, comme le CNPA, la reforme doit être retardée, car les auto-écoles n'ont toujours pas reçu le nouveau matériel pédagogique adapté. Certains même parient déjà en 2016 sur une baisse de réussite qui est aujourd'hui de 71,49%. Pour eux, les candidats vont tout simplement essuyer les plâtres.
Le code devient payant.
À compter du 1er juin, le candidat au code paiera 30 euros. Ce sont les conséquences du changement d'organisation. À compter de cette date, ce ne sont plus les fonctionnaires qui feront passer ces épreuves mais le privé. Des sociétés, telles que la Poste se sont portées candidates pour obtenir l'agrément qui leur permettra de prendre en charge ces examens. «Nous avons des locaux sur tout le territoire et le personne disponible», avait d'ailleurs fait valoir au Figaro la Poste.
Et bientôt des facteurs.
À compter du 29 février, 44 postiers, préalablement formés, vont faire passer les épreuves pratiques aux candidats. Pour l'heure, ils achèvent leur apprentissage au côté des inspecteurs avec lesquels ils vont donc travailler. Une greffe qui n'est pas du goût es syndicats.
Par Angélique Négroni - lefigaro.fr
Des nouvelles images et de la vidéo pour passer les épreuves du code.
À compter du 18 avril prochain, la nouvelle banque de photos destinée aux examens du code sera soumise aux candidats. Ce toilettage qui permet de dépoussiérer ce stock ancien intègre de nouveaux clichés avec vues aériennes mais aussi, et c'est nouveau, des vidéos. Par ailleurs, le volume des diapositives augmente passant de 700 aujourd'hui à 1015.
Des questions qui font davantage appel au bon sens du candidat.
Les questions ont aussi été formulées autrement pour davantage faire appel au bon sens du candidat. Par ailleurs, une formation plus poussée sera faite sur les usagers vulnérables, l'écoconduite, les nouvelles technologies, les gestes de premier secours. Selon Emmanuel Barbe, le délégué interministériel à la sécurité routière, «cet enseignement nécessitera plus de pédagogie». En clair, on fera moins appel à du par cœur qu'à l'intelligence du futur conducteur.
Il faudra bien choisir son auto-école
Le candidat aura donc tout intérêt à bien choisir son auto-école en s'assurant que la formation est bien accompagnée et non exclusivement basée sur du visionnage de «diapos». Or pour certains syndicats d'auto-écoles, comme le CNPA, la reforme doit être retardée, car les auto-écoles n'ont toujours pas reçu le nouveau matériel pédagogique adapté. Certains même parient déjà en 2016 sur une baisse de réussite qui est aujourd'hui de 71,49%. Pour eux, les candidats vont tout simplement essuyer les plâtres.
Le code devient payant.
À compter du 1er juin, le candidat au code paiera 30 euros. Ce sont les conséquences du changement d'organisation. À compter de cette date, ce ne sont plus les fonctionnaires qui feront passer ces épreuves mais le privé. Des sociétés, telles que la Poste se sont portées candidates pour obtenir l'agrément qui leur permettra de prendre en charge ces examens. «Nous avons des locaux sur tout le territoire et le personne disponible», avait d'ailleurs fait valoir au Figaro la Poste.
Et bientôt des facteurs.
À compter du 29 février, 44 postiers, préalablement formés, vont faire passer les épreuves pratiques aux candidats. Pour l'heure, ils achèvent leur apprentissage au côté des inspecteurs avec lesquels ils vont donc travailler. Une greffe qui n'est pas du goût es syndicats.