INFOGRAPHIE - Selon le classement annuel établi par Forbes, il arrive juste devant Angela Merkel et Barack Obama. François Hollande est 16èm...
INFOGRAPHIE - Selon le classement annuel établi par Forbes, il arrive juste devant Angela Merkel et Barack Obama. François Hollande est 16ème.
Pour la troisième année consécutive, Vladimir Poutine remporte la palme de l'homme le plus puissant de la planète, selon un classement établi chaque année par le magazineForbes et publié mercredi.
Le président russe «continue à prouver qu'il est l'une des rares personnes dans le monde qui puisse se permettre de faire ce qu'il veut», explique le magazine pour justifier son choix. Forbes rappelle la popularité très élevé du dirigeant russe, qui n'a pas pâti des sanctions internationales, qui ont «ont frappé le rouble et entraîné la Russie dans une récession de plus en plus marquée, sans l'affaiblir le moins du monde».Son action en Syrie a renforcé son influence internationale, précise le journal.
Le deuxième homme le plus puissant du monde est une femme: Angela Merkel, qui gagne trois places par rapport à 2014 et devance le président américain Barack Obama, qui perd une place. Vladimir Poutine est dans le top 3 de ce classement depuis au moins cinq ans. Le pape François conserve la 4e place du classement.
Quant à François Hollande, il n'arrive que 16e du classement, gagnant une place par rapport en 2014. Lors de la première année du lancement de ce classement en 2009, Sarkozy arrivait lui en 56ème position, sur 67 primés. Deux autres Français figurent au classement: la directrice du FMI Christine Lagarde, qui bondit de dix places, et le PDG de LVMH Bernard Arnault, qui descend de la 59e à la 66e place.
Le chef de l'État islamique, Abou Bakr al-Baghdadi, qui avait fait une entrée remarquée au classement l'an dernier, a perdu trois places au classement, descendant 57e.
Parmi les nouveaux arrivants dans cette liste restreinte on trouve Hillary Clinton (58e) devant son mari Bill (64e). La candidate démocrate fait partie d'une des rares femmes du classement: 9 sur 73. L'iconoclaste Donald Trump, impétrant à la primaire républicaine, fait lui aussi son entrée, à la 72e place.
Le classement est déterminé par plusieurs facteurs: le nombre de personnes directement influencées par les membres de cette liste, la capacité financière, la possibilité d'avoir une influence en dehors de son pays.
Le nombre de personnes présent sur la liste évolue chaque année: il y a une liste pour 100 millions de personnes, ce qui signifie 67 personnes en 2009 et 73 aujourd'hui, soit 0.00000001 % de la population mondiale, une élite capable de mettre en œuvre des actions à l'échelle mondiale.
Pour la troisième année consécutive, Vladimir Poutine remporte la palme de l'homme le plus puissant de la planète, selon un classement établi chaque année par le magazineForbes et publié mercredi.
Le président russe «continue à prouver qu'il est l'une des rares personnes dans le monde qui puisse se permettre de faire ce qu'il veut», explique le magazine pour justifier son choix. Forbes rappelle la popularité très élevé du dirigeant russe, qui n'a pas pâti des sanctions internationales, qui ont «ont frappé le rouble et entraîné la Russie dans une récession de plus en plus marquée, sans l'affaiblir le moins du monde».Son action en Syrie a renforcé son influence internationale, précise le journal.
Le deuxième homme le plus puissant du monde est une femme: Angela Merkel, qui gagne trois places par rapport à 2014 et devance le président américain Barack Obama, qui perd une place. Vladimir Poutine est dans le top 3 de ce classement depuis au moins cinq ans. Le pape François conserve la 4e place du classement.
Quant à François Hollande, il n'arrive que 16e du classement, gagnant une place par rapport en 2014. Lors de la première année du lancement de ce classement en 2009, Sarkozy arrivait lui en 56ème position, sur 67 primés. Deux autres Français figurent au classement: la directrice du FMI Christine Lagarde, qui bondit de dix places, et le PDG de LVMH Bernard Arnault, qui descend de la 59e à la 66e place.
Donald Trump entre dans le classement
Le chef de l'État islamique, Abou Bakr al-Baghdadi, qui avait fait une entrée remarquée au classement l'an dernier, a perdu trois places au classement, descendant 57e.
Parmi les nouveaux arrivants dans cette liste restreinte on trouve Hillary Clinton (58e) devant son mari Bill (64e). La candidate démocrate fait partie d'une des rares femmes du classement: 9 sur 73. L'iconoclaste Donald Trump, impétrant à la primaire républicaine, fait lui aussi son entrée, à la 72e place.
Le classement est déterminé par plusieurs facteurs: le nombre de personnes directement influencées par les membres de cette liste, la capacité financière, la possibilité d'avoir une influence en dehors de son pays.
Le nombre de personnes présent sur la liste évolue chaque année: il y a une liste pour 100 millions de personnes, ce qui signifie 67 personnes en 2009 et 73 aujourd'hui, soit 0.00000001 % de la population mondiale, une élite capable de mettre en œuvre des actions à l'échelle mondiale.