En plus de faire couler d’encre et de salive, la question du vote des comoriens de la France pour n’est pas dire de l’étranger, est en pass...
En plus de faire couler d’encre et de salive, la question du vote des comoriens de la France pour n’est pas dire de l’étranger, est en passe de faire suer à grosses goûtes les autorités. Toute laisse à entendre que la diaspora elle-même n’est pas suffisamment informée.
Ils sont environ plus de 120 mille comoriens vivent en France. Beaucoup d’entre eux aimeraient participer aux élections prochaines mais il est impossible de voter car ils ne sont pas « suffisamment informés », rencontrent de ressortissants comoriens qui vivent en France. « La communication de la CENI sur cette question n'avait pas mobilisé grand monde, et les rares personnes impliqués dans le processus sont souvent inconnus du bon nombre au niveau de la diaspora. Aucun membre de la diaspora n’est à ce sujet capable d’identifier ni responsables ni des lieux indiqués pour le vote, tout est gardé au secret par les organisateurs. Les partis politiques n'ont même pas été conviés aux réunions de l'ambassade, ni les associations de la diaspora. Ce qui fait que beaucoup de gens sont susceptibles de méconnaitre, ne serait-ce que les dates des élections à cause de l’attitude opaque de la CENI et du ministère de l’intérieur », a-t-il raconté un résident de Paris.
Photo d'illustration |
D’autre source précise que la question reste un débat des intellectuelles. « La plupart des gens qui sont ici sont des jeunes et des femmes très peu formés et très peu politisés alors que le débat reste pour les intellectuelles. Quand je dis entre intellectuels, c’est surtout entre intellectuels politisés. Mais en réalité, la diaspora n’est pas bien informé et jusqu’à présent on ne sait pas les modalités de ce vote », a-t-il précisé Docteur Nassurdine Ali un comorien résidant à Lyon. Lui d’ajouté que « globalement tout le monde est d'accord pour ce droit de vote mais les conditions ne sont pas réunies.
Personnellement je pense que Msaidié voulait passer en force car il a ici dans la région parisienne, un potentiel électorat. Il est de M’boudé et beaucoup de gens de cette région habite dans la région parisienne. Mais en l'état actuel des choses, seuls ceux sont à Paris voteront car les conditions ne se sont pas encore réunies pour que l'on vote ici. Par contre il parait qu’il y a eu 37 kits de recensement qui sont arrivés à Paris au moment ou nous pensons au vote », s’est t-il révélé.
Par Nakidine Hassane