PRÉSIDENTIELLES 2016: MOHELI VOTE MBADJINI C'est dans une ambiance quasi familiale que SULTAN et MOHAMED SAID FAZUL , ancien président d...
PRÉSIDENTIELLES 2016: MOHELI VOTE MBADJINI
C'est dans une ambiance quasi familiale que SULTAN et MOHAMED SAID FAZUL, ancien président de l'île autonome de Moheli, et candidat au gouvernorat sont arrivés dans la même voiture (Fazul au volant ) , mardi HACHIM après la prière de l'Ansr dans la ville de BOINGOMA, ville mbadjinienne par excellence, au même titre que MIRINGONI, NIOUMACHIWA et ITSAMIA. C'est ensemble, entourés de la population, et à pieds qu'ils ont parcouru la ville de naissance du président FAZUL, rendant visite par çi par là, à leurs familles respectives et aux amis. Durant son séjour Mohelien, le trouble sommeil de Mamadou, Mouigni et Azali et porte étendard de la révolution a reçu à son Hôtel "les Abou"transformé pour l'occasion en véritable QG de campagne, la crème de la crème mohelienne.
Des officiers de l'AND et pas n'importe lesquels, ont même rendu une visite de courtoisie au Sultan en signe d'allégeance. Décidée à tenir la dragée haute au président IKILILOU, la population a fait comprendre à ce dernier, qu'il a peut être le droit de trahir "son père" SAMBI, "son oncle "MOHAMED HASSANALY et sa génération politique, mais pas "notre mère à toutes et tous "le Mbadjini. IKILILOU doit se souvenir, mais est ce que c'est un homme de souvenirs, qu'il ya pratiquement deux siècles , lorsque Moheli était menacée, attaquée et envahie par les pirates Malgaches, que seuls les Mbadjiniens avaient volés au secours de Moheli et des Moheliens.
Donc, pour les Moheliens, IKILILOU doit cesser de vivre dans la traîtrise, l'ingratitude, le déni, et le reniement, au risque de subir une foudre divine. Comme disent les Comoriens, il fut un temps où le bon DIEU, réglait ses comptes le 30 du mois, maintenant pas plus tard que le 25. Alors Ikililou si tu m'écoutes. . . Notre devoir nous Moheliens, c'est de se montrer dignes de cette reconnaissance de dette à l'endroit des Mbadjiniens, qui ont fait don de leur personne pour protéger et défendre Moheli contre l'envahisseur.
Et dans ce bras de fer engagé par Moheli contre ce fils ingrat, une personnalité de l'île que tout le monde connaît s'est adressé à lui en ces termes : « Toi choix n'engage que toi, parce que même ton garçon de maison ne te suivra pas . . . ton candidat connaîtra le même sort que Cambi soutenu par AZALI en 2006. . . Et n'oublie pas que toi même, le jour où ta vie serait menacée en Grande Comore, c'est dans le Mbadjini, région que tu as ignoré pendant 5 ans de règne, et que tu n'as jamais mis les pieds, si ce n'est le jour du grand mariage de ton ami pharmacien et guinéen . . . que tu courras te réfugier en attendant le « Shitrima » et nul part ailleurs . . . Jamais tu penseras aller te cacher à Mbeni, Ntsoudjouni, Mitsoudje, et encore moins Chouoini, village de ton directeur de cabinet responsable de ta mort avant l'heure. . . tu serais chassé à coup de bâtons. . . Alors je suis chargé de te dire par tout Moheli, que si par bonheur un fils du Mbadjini, quel qu'il soit arrive à se hisser au second tour de la présidentielle, les 14 000 voix moheliennes lui seront acquises . . . Au revoir Président».
C'est dans une ambiance quasi familiale que SULTAN et MOHAMED SAID FAZUL, ancien président de l'île autonome de Moheli, et candidat au gouvernorat sont arrivés dans la même voiture (Fazul au volant ) , mardi HACHIM après la prière de l'Ansr dans la ville de BOINGOMA, ville mbadjinienne par excellence, au même titre que MIRINGONI, NIOUMACHIWA et ITSAMIA. C'est ensemble, entourés de la population, et à pieds qu'ils ont parcouru la ville de naissance du président FAZUL, rendant visite par çi par là, à leurs familles respectives et aux amis. Durant son séjour Mohelien, le trouble sommeil de Mamadou, Mouigni et Azali et porte étendard de la révolution a reçu à son Hôtel "les Abou"transformé pour l'occasion en véritable QG de campagne, la crème de la crème mohelienne.
Des officiers de l'AND et pas n'importe lesquels, ont même rendu une visite de courtoisie au Sultan en signe d'allégeance. Décidée à tenir la dragée haute au président IKILILOU, la population a fait comprendre à ce dernier, qu'il a peut être le droit de trahir "son père" SAMBI, "son oncle "MOHAMED HASSANALY et sa génération politique, mais pas "notre mère à toutes et tous "le Mbadjini. IKILILOU doit se souvenir, mais est ce que c'est un homme de souvenirs, qu'il ya pratiquement deux siècles , lorsque Moheli était menacée, attaquée et envahie par les pirates Malgaches, que seuls les Mbadjiniens avaient volés au secours de Moheli et des Moheliens.
Donc, pour les Moheliens, IKILILOU doit cesser de vivre dans la traîtrise, l'ingratitude, le déni, et le reniement, au risque de subir une foudre divine. Comme disent les Comoriens, il fut un temps où le bon DIEU, réglait ses comptes le 30 du mois, maintenant pas plus tard que le 25. Alors Ikililou si tu m'écoutes. . . Notre devoir nous Moheliens, c'est de se montrer dignes de cette reconnaissance de dette à l'endroit des Mbadjiniens, qui ont fait don de leur personne pour protéger et défendre Moheli contre l'envahisseur.
Et dans ce bras de fer engagé par Moheli contre ce fils ingrat, une personnalité de l'île que tout le monde connaît s'est adressé à lui en ces termes : « Toi choix n'engage que toi, parce que même ton garçon de maison ne te suivra pas . . . ton candidat connaîtra le même sort que Cambi soutenu par AZALI en 2006. . . Et n'oublie pas que toi même, le jour où ta vie serait menacée en Grande Comore, c'est dans le Mbadjini, région que tu as ignoré pendant 5 ans de règne, et que tu n'as jamais mis les pieds, si ce n'est le jour du grand mariage de ton ami pharmacien et guinéen . . . que tu courras te réfugier en attendant le « Shitrima » et nul part ailleurs . . . Jamais tu penseras aller te cacher à Mbeni, Ntsoudjouni, Mitsoudje, et encore moins Chouoini, village de ton directeur de cabinet responsable de ta mort avant l'heure. . . tu serais chassé à coup de bâtons. . . Alors je suis chargé de te dire par tout Moheli, que si par bonheur un fils du Mbadjini, quel qu'il soit arrive à se hisser au second tour de la présidentielle, les 14 000 voix moheliennes lui seront acquises . . . Au revoir Président».
Chacha Mohamed