PARALYSIE DANS LE SECTEUR DE LA SANTE: Des grèves oubliées Pendant que le gouvernement ne se préoccupe que l’organisation des élections et l...
PARALYSIE DANS LE SECTEUR DE LA SANTE: Des grèves oubliées
Pendant que le gouvernement ne se préoccupe que l’organisation des élections et l’éventuelle candidature controversée de Sambi, la société civile et la fédération des consommateurs s’acharnent contre la Ma-Mwé pour la pénurie de l’eau et électricité à Moroni alors que les hôpitaux ont fermé les portes.
Les hôpitaux publics en grève, le secteur de la santé est paralysé, le gouvernement n’est toujours pas parvenu à désamorcer la crise dans le secteur de la santé malgré le fait d’avoir accédé à l’une des principales revendications des médecins de l’hôpital El-Maarouf, c'est-à-dire la suspension du directeur Général.
L’hôpital El-Maarouf est paralysé depuis 2 mois, celle de Mitsamihouli est à la troisième semaine de grève générale, pourtant aucune voie ne se lève pour dénoncer cette débrayage. Ni la société civile avec ses fameux Ngoshawo et la Fédération Comorienne des Consommateurs, ni le gouvernement centre n’en parle plus le gouvernorat de Ngazidja, n’enlèvent le doigt face à cette situation. Pourtant, on se souvient de l’acharnement et l’engagement sans relâche de Ngoshawo et la FCC contre la Ma-mwé quand la ville de Moroni a été touchée par la pénurie de l’eau et électricité. Ces deux instituions ont été au cœur de l’événement jusqu’amener une délégation chez le président de la république pour que Moroni soit servie de l’eau et électricité. Mais la grève des hôpitaux n’est pas à leur porté, alors que demain, ils vont utiliser la population laissée à leur triste sort, à observer une autre ile morte pour servir leur cause.
Le personnel de l’hôpital de Mitsamihouli réclame le payement les salaires 7 mois des ayant-droits. Pendant qu’à El-Maarouf, les médecins ont allé en grève dans le but de réclamer l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. Mais ce débrayage paralyse les activités dans ces centres de santé. Face à cela, les responsables syndicaux déclarent qu’ « après avoir observé des semaines de grève, ils vont passer à la vitesse supérieure en décidant de passer à une grève sans service minimum à partir de la semaine sur-prochaine », annoncent-ils. Par Nakidine Hassane
Pendant que le gouvernement ne se préoccupe que l’organisation des élections et l’éventuelle candidature controversée de Sambi, la société civile et la fédération des consommateurs s’acharnent contre la Ma-Mwé pour la pénurie de l’eau et électricité à Moroni alors que les hôpitaux ont fermé les portes.
Les hôpitaux publics en grève, le secteur de la santé est paralysé, le gouvernement n’est toujours pas parvenu à désamorcer la crise dans le secteur de la santé malgré le fait d’avoir accédé à l’une des principales revendications des médecins de l’hôpital El-Maarouf, c'est-à-dire la suspension du directeur Général.
L’hôpital El-Maarouf est paralysé depuis 2 mois, celle de Mitsamihouli est à la troisième semaine de grève générale, pourtant aucune voie ne se lève pour dénoncer cette débrayage. Ni la société civile avec ses fameux Ngoshawo et la Fédération Comorienne des Consommateurs, ni le gouvernement centre n’en parle plus le gouvernorat de Ngazidja, n’enlèvent le doigt face à cette situation. Pourtant, on se souvient de l’acharnement et l’engagement sans relâche de Ngoshawo et la FCC contre la Ma-mwé quand la ville de Moroni a été touchée par la pénurie de l’eau et électricité. Ces deux instituions ont été au cœur de l’événement jusqu’amener une délégation chez le président de la république pour que Moroni soit servie de l’eau et électricité. Mais la grève des hôpitaux n’est pas à leur porté, alors que demain, ils vont utiliser la population laissée à leur triste sort, à observer une autre ile morte pour servir leur cause.
Le personnel de l’hôpital de Mitsamihouli réclame le payement les salaires 7 mois des ayant-droits. Pendant qu’à El-Maarouf, les médecins ont allé en grève dans le but de réclamer l’amélioration de leurs conditions de vie et de travail. Mais ce débrayage paralyse les activités dans ces centres de santé. Face à cela, les responsables syndicaux déclarent qu’ « après avoir observé des semaines de grève, ils vont passer à la vitesse supérieure en décidant de passer à une grève sans service minimum à partir de la semaine sur-prochaine », annoncent-ils. Par Nakidine Hassane