La corruption qui ronge les Comores est un cancer. Je fais donc appel à la nouvelle génération pour mettre tout poids dans la balance pour l...
La corruption qui ronge les Comores est un cancer. Je fais donc appel à la nouvelle génération pour mettre tout poids dans la balance pour le vaincre. Nous devons nous attaquer aux
racines du problème, et ne pas nous laisser faire.
A nous de prendre l'initiative, parce que cette fois-ci le salut ne viendra pas de l'extérieur comme les 4 millions d'euro octroyaient par la commission Européen pour financer les élections présidentiel de la diaspora 2016. Le mal est en nous, il nous ronge. Il faudrait l'extirper par la force, l'exorciser.
On dit souvent qu’un peuple a le gouvernement qu’il mérite. Commençons par le changement d’attitude et d’habitudes à la maison, s’en suivra un changement de culture au sein du politique et de l’administratif.
Si nous voulons qu’un jour notre pays rejoigne le club des pays « civilisés », il faudrait se serrer les coudes et travailler ensemble pour une refonte en profondeur du système d'éducation, de la fonction publique, et de l’État.
Mobilisons-nous alors pour qu’un jour, non lointain je l’espère, les Comores soit classé parmi les pays mieux géré comme Maurice et Rwanda . . Y'a latha Chabab que du rêve .
A nous de prendre l'initiative, parce que cette fois-ci le salut ne viendra pas de l'extérieur comme les 4 millions d'euro octroyaient par la commission Européen pour financer les élections présidentiel de la diaspora 2016. Le mal est en nous, il nous ronge. Il faudrait l'extirper par la force, l'exorciser.
On dit souvent qu’un peuple a le gouvernement qu’il mérite. Commençons par le changement d’attitude et d’habitudes à la maison, s’en suivra un changement de culture au sein du politique et de l’administratif.
Si nous voulons qu’un jour notre pays rejoigne le club des pays « civilisés », il faudrait se serrer les coudes et travailler ensemble pour une refonte en profondeur du système d'éducation, de la fonction publique, et de l’État.
Mobilisons-nous alors pour qu’un jour, non lointain je l’espère, les Comores soit classé parmi les pays mieux géré comme Maurice et Rwanda . . Y'a latha Chabab que du rêve .
Par Rafik Adili