L'ancien président Ahmed Sambi n'était pas invité. Parmi les raisons : Des jeunes, eux aussi insolents étaient déterminés à l'en...
L'ancien président Ahmed Sambi n'était pas invité. Parmi les raisons : Des jeunes, eux aussi insolents étaient déterminés à l'enlever son turban en public !
Comores 1975-2015 : 40ème anniversaire de l'indépendance
L'ancien président Ahmed Sambi n'était pas invité. Puisque sa présence n'allait pas provoquer seulement des "youyous" en sa faveur ou des "huées" à l'encontre de l'actuel président et son équipe comme on veut faire croire. Non et non. Des jeunes insolents eux aussi étaient très déterminés à tabasser l'ancien président Sambi et de l'enlever son turban !
Le département chargé des renseignements intérieurs et extérieurs pour le bon déroulement de la fête nationale, avait en possession des informations qui risquaient d'éclater le pays et déclencher une guerre civile le 6 juillet 2015.
Oui, c'était trop dangereux et contrairement à ce que disent certains, ce danger était préparé aussi par des jeunes militants non sambistes. Comment ?
Certes, des partisans de Sambi voulaient créer des troubles (comme le 6 juillet 2014), des "youyous" au moment de l'arrivée de Sambi à la fête, tout en huant tous les autres dont le Chef de l'Etat.
Des youyous et applaudissements pour Sambi ; hurlements et insultes pour tous les autres. A cela des partisans des autres hommes politiques (je rappelle qu'en termes d'électeurs Sambi représente 1 % à Ngazidja) et des Wangazidjas tout simplement ont été décidé de tabasser l'ancien président Sambi, de l'enlever son turban. Chacun peut imaginer la suite des événements heureusement on l'a échappé belle.
C'est donc pour préserver la paix civile 40 ans après la proclamation de notre indépendance que le Ministre de l'Intérieur Houmed Msaidie, le Directeur du Cabinet du Chef de l'Etat chargé de la défense Hamada Madi Boléro et la force de l'ordre, après accord du chef de l'Etat ont décidé de ne pas inviter l'ancien président Sambi. Après cette décision, Beit-Salam a avi-sé directement la communauté internationale pour éviter toute polémique.
Dieu merci, la fête est très bien passée. "Alhamdullah", le service de renseignement a évité la guerre civile, mais aussi il a évité à l'ancien raïs Sambi d'être tabassé et enlevé le turban par des jeunes certes insolents comme les insolents qui ont tabassé le jeune de Magoudjou le 19 juin 2015 devant la grande mosquée de la capitale Moroni. L'honneur de l'ancien président est toujours là, la paix sociale aussi. On peut dire en fin « Ouf ! »
Par Mrimdu
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Comores 1975-2015 : 40ème anniversaire de l'indépendance
L'ancien président Ahmed Sambi n'était pas invité. Puisque sa présence n'allait pas provoquer seulement des "youyous" en sa faveur ou des "huées" à l'encontre de l'actuel président et son équipe comme on veut faire croire. Non et non. Des jeunes insolents eux aussi étaient très déterminés à tabasser l'ancien président Sambi et de l'enlever son turban !
Le département chargé des renseignements intérieurs et extérieurs pour le bon déroulement de la fête nationale, avait en possession des informations qui risquaient d'éclater le pays et déclencher une guerre civile le 6 juillet 2015.
Oui, c'était trop dangereux et contrairement à ce que disent certains, ce danger était préparé aussi par des jeunes militants non sambistes. Comment ?
Certes, des partisans de Sambi voulaient créer des troubles (comme le 6 juillet 2014), des "youyous" au moment de l'arrivée de Sambi à la fête, tout en huant tous les autres dont le Chef de l'Etat.
Des youyous et applaudissements pour Sambi ; hurlements et insultes pour tous les autres. A cela des partisans des autres hommes politiques (je rappelle qu'en termes d'électeurs Sambi représente 1 % à Ngazidja) et des Wangazidjas tout simplement ont été décidé de tabasser l'ancien président Sambi, de l'enlever son turban. Chacun peut imaginer la suite des événements heureusement on l'a échappé belle.
C'est donc pour préserver la paix civile 40 ans après la proclamation de notre indépendance que le Ministre de l'Intérieur Houmed Msaidie, le Directeur du Cabinet du Chef de l'Etat chargé de la défense Hamada Madi Boléro et la force de l'ordre, après accord du chef de l'Etat ont décidé de ne pas inviter l'ancien président Sambi. Après cette décision, Beit-Salam a avi-sé directement la communauté internationale pour éviter toute polémique.
Dieu merci, la fête est très bien passée. "Alhamdullah", le service de renseignement a évité la guerre civile, mais aussi il a évité à l'ancien raïs Sambi d'être tabassé et enlevé le turban par des jeunes certes insolents comme les insolents qui ont tabassé le jeune de Magoudjou le 19 juin 2015 devant la grande mosquée de la capitale Moroni. L'honneur de l'ancien président est toujours là, la paix sociale aussi. On peut dire en fin « Ouf ! »
Par Mrimdu
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