Le pire c'est de raviver le séparatisme insulaire jusqu'à aboutir à des affrontements fratricides entre wadzuani et wagazidja. Et i...
Le pire c'est de raviver le séparatisme insulaire jusqu'à aboutir à des affrontements fratricides entre wadzuani et wagazidja. Et il faut comprendre que des forces puissantes agissent en coulisse dans cet objectif car alors les Comores imploseront ; plus personne ne pourra revendiquer la comorianité de Mayotte ; le champ sera plus ou moins libre pour s'accaparer les richesses pétrolières tant convoitées. Nous autres, nous ne sommes ni pour Ikililou, ni pour Sambi, ni pour Azali, ni pour Mouigni, ni pour Mamadou. Notre préoccupation c'est notre pays, sa préservation.
Il faut se souvenir. En 1975, lorsqu'il était devenu évident que le pays accédait à l'indépendance, les dirigeants de l'époque s'empoignèrent pour le pouvoir, oubliant la question de Mayotte, ignorant les manœuvres en coulisse de la France et de ses affidés du Mouvement Populaire Maorais. Résultat le pays devint indépendant et Mayotte prit le large. Le pays se trouve depuis déstabilisé. L'Etat comorien perd petit à petit pied, incapable d'assurer ses fonctions régaliennes ni le moindre service public. Le pays se meurt, sans eau ni électricité ; sans hôpital ni école.
Les dirigeants engagés dans la lutte pour le pouvoir, à savoir Ikililou, Sambi, Azali, Mougni, Mamadou, … sont comptables collectivement et individuellement de ce qui se passera jusqu'aux présidentielles de 2016. Ils doivent respecter un minimum de principes ; suivre la Constitution dans l'esprit et la lettre ; ne pas prendre leurs intérêts pour la loi. Qu'ils n'oublient pas qu'il n'est pas exclu qu'ils répondent devant un tribunal comorien ou un autre de leurs actes anti comoriens.
Nombre de Chefs d'Etat se sont crus tout permis et à force d'abuser se sont retrouvés au fond d'un trou. Il y a aussi les « faux » journalistes qui sont mus par des préoccupations politiciens et qui utilisent leurs positions pour produire des « éditoriaux » provocateurs, jetant ainsi de l'huile sur le feu.
Il y a des actes absolument inadmissibles. Avec un minimum d'honnêteté tout un chacun peut comprendre qu'il n'est pas acceptable, par exemple de :
- nommer des chefs de quartier quelques jours avant les élections des maires
- lever une séance remise à un autre jour pour la reprendre quelques heures après en l'absence de tous les élus
- procéder à des élections à l'Assemblée Nationale sans l'ensemble des députés anjouannais.
Il serait temps, pour ceux qui en ont les moyens, de penser à offrir au pays une alternative de gauche susceptible de redonner de l'espoir au peuple.
Il faut se souvenir. En 1975, lorsqu'il était devenu évident que le pays accédait à l'indépendance, les dirigeants de l'époque s'empoignèrent pour le pouvoir, oubliant la question de Mayotte, ignorant les manœuvres en coulisse de la France et de ses affidés du Mouvement Populaire Maorais. Résultat le pays devint indépendant et Mayotte prit le large. Le pays se trouve depuis déstabilisé. L'Etat comorien perd petit à petit pied, incapable d'assurer ses fonctions régaliennes ni le moindre service public. Le pays se meurt, sans eau ni électricité ; sans hôpital ni école.
Les dirigeants engagés dans la lutte pour le pouvoir, à savoir Ikililou, Sambi, Azali, Mougni, Mamadou, … sont comptables collectivement et individuellement de ce qui se passera jusqu'aux présidentielles de 2016. Ils doivent respecter un minimum de principes ; suivre la Constitution dans l'esprit et la lettre ; ne pas prendre leurs intérêts pour la loi. Qu'ils n'oublient pas qu'il n'est pas exclu qu'ils répondent devant un tribunal comorien ou un autre de leurs actes anti comoriens.
Nombre de Chefs d'Etat se sont crus tout permis et à force d'abuser se sont retrouvés au fond d'un trou. Il y a aussi les « faux » journalistes qui sont mus par des préoccupations politiciens et qui utilisent leurs positions pour produire des « éditoriaux » provocateurs, jetant ainsi de l'huile sur le feu.
Il y a des actes absolument inadmissibles. Avec un minimum d'honnêteté tout un chacun peut comprendre qu'il n'est pas acceptable, par exemple de :
- nommer des chefs de quartier quelques jours avant les élections des maires
- lever une séance remise à un autre jour pour la reprendre quelques heures après en l'absence de tous les élus
- procéder à des élections à l'Assemblée Nationale sans l'ensemble des députés anjouannais.
Il serait temps, pour ceux qui en ont les moyens, de penser à offrir au pays une alternative de gauche susceptible de redonner de l'espoir au peuple.