Le parti JUWA, fer de lance de l’Unité nationale, a gagné le pari de l’implantation sur l’ensemble du territoire, et même au-delà, à traver...
Le parti JUWA, fer de lance de l’Unité nationale, a gagné le pari de l’implantation sur l’ensemble du territoire, et même au-delà, à travers des structures, des hommes, des femmes, des jeunes qui portent un projet pour les Comores.
En face, on joue des alliances politiques de circonstances tous azimuts et d’individus sans réelle légitimité populaire et on comble ce vide par une sous-traitance politique, phénomène qui signe l’incapacité des détracteurs d’A.A.M.Sambi de s’adresser directement aux citoyens. Cette conception du pouvoir d’une certaine élite est un déni de la démocratie, de la souveraineté du peuple, une escroquerie politique. Des alliances de circonstances qui n’ont comme objectif que la conquête pour certains ou pour d’autres la préservation du pouvoir, que l’espoir pour cette élite défaillante et irresponsable d’avoir à tour de rôle l’opportunité de sucer l’os déjà tant sucé avec le clan.
En face, il n’y a ni vision ni projet de société qui donne de l’espoir aux gens. CET ESPOIR que les 5 ans de pouvoir d’A.A.M.Sambi ont pour la première fois laissé aux comoriens. L’espoir de rompre avec une conception clanique et jouissive du pouvoir, l’espoir de mettre celui-ci au service de la réalisation des besoins de tous genres des hommes et femmes de notre pays sans exclusive, l’espoir de rompre avec la spirale du sous-développement qui fragilise de jour en jour le quotidien des comoriens plongés le désespoir total et qui n’ont qu’un rêve fou, celui de se jeter dans l’inconnu dont personne n’ignore les conséquences dramatiques, l’espoir qu’à terme, grâce à des investissements étrangers massifs et à la création d’une économie productive, nous sortirons de la gestion politico-épicière du pays qui humilie ses enfants.
En face, on joue des alliances politiques de circonstances tous azimuts et d’individus sans réelle légitimité populaire et on comble ce vide par une sous-traitance politique, phénomène qui signe l’incapacité des détracteurs d’A.A.M.Sambi de s’adresser directement aux citoyens. Cette conception du pouvoir d’une certaine élite est un déni de la démocratie, de la souveraineté du peuple, une escroquerie politique. Des alliances de circonstances qui n’ont comme objectif que la conquête pour certains ou pour d’autres la préservation du pouvoir, que l’espoir pour cette élite défaillante et irresponsable d’avoir à tour de rôle l’opportunité de sucer l’os déjà tant sucé avec le clan.
En face, il n’y a ni vision ni projet de société qui donne de l’espoir aux gens. CET ESPOIR que les 5 ans de pouvoir d’A.A.M.Sambi ont pour la première fois laissé aux comoriens. L’espoir de rompre avec une conception clanique et jouissive du pouvoir, l’espoir de mettre celui-ci au service de la réalisation des besoins de tous genres des hommes et femmes de notre pays sans exclusive, l’espoir de rompre avec la spirale du sous-développement qui fragilise de jour en jour le quotidien des comoriens plongés le désespoir total et qui n’ont qu’un rêve fou, celui de se jeter dans l’inconnu dont personne n’ignore les conséquences dramatiques, l’espoir qu’à terme, grâce à des investissements étrangers massifs et à la création d’une économie productive, nous sortirons de la gestion politico-épicière du pays qui humilie ses enfants.
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| Sambi à la Réunion en avril 2011 ©habarizacomores |
En face, c’est le renoncement et la politique du sauve qui peut ! En face, l’immobilisme et la résignation sont des vertus politiques. L’hypocrisie et l’insincérité dans les relations humaines sont les meilleures armes de la vie. La générosité et l’audace sont des chimères.
Dans ce camp vous retrouverez tout ce qu’il y a de meilleure de la gente séparatiste dont la logique est plus le partage que l’effort de construction au profit du plus grand nombre, dont la matrice de pensée repose sur une croyance fausse et inexacte d’un pays riche, développé dont il faut partager les fruits alors que notre pays est désespérément dans la nasse du sous-développement.
Alors en face, on ne jure que par les alliances sur le dos des comoriens ! Oui en face beaucoup pensent qu’ils seront président en 2016 sans aller au devant des citoyens prendre des engagements ! Qu’il faut juste s’entendre avec telle ou telle supposée icône politique dans le village, dans la région ou dans l’île pour gagner. Les comoriens n’existent pas dans leur esprit. Ceux-là se font appeler pompeusement politicien, cadre, intellectuel, élite, et s’arrogent indûment le droit de parler pour les autres.
Ils n’ont pas honte ceux-là ! Ils ne rendent pas même compte de leur responsabilité première du bilan désastreux des Comores. Pas d’eau ! Pas de route ! Pas d’électricité ! Pas de soins de santé ! Pas d’école digne de ce nom ! Pas d’économie digne de ce nom créatrice d’emplois et des richesses ! Pas de perspectives et de lisibilité pour l’avenir du pays ! Du chômage massif ! La preuve de leur indécence : L’UPDC a la tête à faire la fête en ce moment. Pour célébrer quoi ? La victoire aux forceps de leurs intérêts particuliers et mesquins. Ceux-là ont raison : ils ne voient qu’eux dans la vie et ils sont insensibles à l’immense détresse qui frappe le pays. Des bébés qui meurent dans des couveuses faute d’électricité ce n’est pas un problème ! L’hôpital de référence qui ne marche pas ce n’est pas un problème. Pour vérifier leur tension et leur taux de sucre dans le sang, ils peuvent se rendre en avion à Mayotte pendant que les autres risquent leur vie dans des embarcations de fortune. Ceux qui parlent comme nous rêvent ! Eux sont réalistes.
Et le sociologue de la CRC, Msa Djamal, de vouloir tirer une conclusion politique de ces alliances entre élites, séparatistes et cadre politiques contre le JUWA ! Faut-il lui rappeler que le rôle de l’élite dans un pays, c’est de tirer ceux qui sont dans le noir vers la lumière et non l’inverse auquel on assiste. Ces alliances sapent l’expression démocratique directe et consacrent la manipulation de la souveraineté populaire ! Ces alliances favorisent les intérêts claniques et corporatistes au détriment d’un travail commun pour le bien du pays. Ces alliances sont le fait d’un conservatisme, du renoncement par rapport aux défis communs, des égoïsmes contraires à ce que doivent nos valeurs de solidarité, de partage entre comoriens.
Au parti JUWA, nous sommes à des années lumière de tout cela ! Nous donnons voix au chapitre aux centaines de milliers de comoriens exclus de la fête, de ces alliances de la honte ! Nous essayons de donner une traduction politique, sociale et économique aux préoccupations des comoriens. D’où l’osmose politique entre le parti JUWA, son dirigeant et les comoriens. Comme réaction en face, il n’ont que le mot « populisme » dans un emploi galvaudé ! Les intérêts claniques et corporatistes sont contraires à la philosophie du parti JUWA, base de l’éducation des valeurs que nous faisons auprès de la jeunesse comorienne et qui est entrain de produire ses effets : NTSI YAHIPRARA DE RAPARA. Le parti JUWA ne connaît pas le renoncement et fait siens les défis nombreux qui meurtrissent les comoriens et se dit prêt à s’engager dans l’aventure du décollage socio-économique. Les comoriens le savent, apprécient cela et se retrouvent pour la première fois dans le discours d’un homme politique. Les tenants des alliances pour le pouvoir parlent de rêve. Mais aucun individu normalement constitué ne peut admettre de vivre condamné dans le désespoir !
Au parti JUWA nous ne serons nous cantonner dans l’indifférence face à la souffrance du peuple, nous défendons des valeurs : solidarité, humanisme. Les comoriens le ressentent ! Le président A.A.M.Sambi au faîte d’une gloire qui ne le quitte pas, qui ne le quittera jamais : Le jugement de la population est ainsi faite, n’a pas hésité et n’hésite pas à tremper dans la gadoue, à prendre des coups bas, pour être proche de ceux qui sont injustement exclus de la fête, des jeux des alliances, de ceux qui sont étrangers dans leur propre pays. Les comoriens l’y encouragent et seront derrière lui : les alliances s’affolent ! Les comoriens assistent amusés à ce jeu qui en dit long sur l’état de panique qui saisit le camp des anti-sambi, le camp des aristocrates attardés contre le peuple réclamant sous la houlette de leur héros sa souveraineté, le pouvoir par le peuple pour le peuple. Les comoriens sont tellement attentifs dans cette bataille acharnée qu’ils verront comme signe troublant de la part d’A.A.M.Sambi s’il rentre dans une alliance politique avec quelqu’un comme Msaidié ou Azaly.
C’est donc dire que les jeux sont clairs ! Il y a ceux qui croient à des valeurs : pays, unité, progrès, solidarité, humanisme, et ils l’ont prouvé et sont prêts à se battre. La population en est sensible et apporte son soutien. Il y a ceux qui ne croient à rien, qui jouent à la comédie politique. Les comoriens les (re)connaissent, les désavouent car responsables de l’échec comorien et, dans une solidarité de condition, ceux-là se retrouvent dans des alliances pour essayer de survivre, mais ne peuvent s’entendre sur rien ni avant élection ni après élection, et sans nul doute leur front anti-sambi succombera même de ses propres motivations. ILS ONT MUS PAR l’APPETANCE DU POUVOIR, ET IL N’Y A RIEN QUI DIVISE QUE LE POUVOIR MEME !
Les comoriens auront ces deux alternatives en 2016 et il serait malhonnête, voir dangereux de vouloir leur enlever la faculté de choisir entre les deux….
Ahmed BOURHANE
