Non ! La Femme Africaine n'a pas été oubliée. Au contraire, le "Crans-Montana African Women's Forum" a ouvert, le 13 mars...
Non ! La Femme Africaine n'a pas été oubliée. Au contraire, le "Crans-Montana African Women's Forum" a ouvert, le 13 mars 2015, ses assises à Dakhla. Une première en Afrique !
Parmi les présentes à ce conclave on citera : Mesdames Hasbite Soulayman Al Boukhari, Présidente tchadienne du Groupe d'Amitié Parlementaire Tchad/Maroc, Paula Veronica Ferraris, Secrétaire d'Etat argentine chargée de la Coordination et de la Coopération Internationale, Marguerita Flores-Sanchez, Ministre méxicaine des Affaires Etrangères, Clarice Modeste-Curwen, Ministre des Affaires Etrangères de Grenade, Luisa Durau de la Fuente, épouse du Président chilien, Sounthane Xaya-Chack, Ministre laotienne des Affaires Etrangères, Aladji Boni Diallo Mariam, ex-Ministre des Affaires Etrangères et Conseillère Spéciale du Président béninois, Léontine Nzeyimama, Ministre de mla Communauté Est Africaine et de l'Intégration du Burundi, Michelle Beugre, Directrice Executive de l'Institut National des Administrateurs ivoirien, Doria Sharaf Al Dine, ex-Ministre égyptienne de l'Information, Kane Aïchatou Boulama, Ministre nigérienne des Affaires Etrangères, Amina Tall, Présidente du Conseil Economique, Social et environnemental du Sénégal, Khadijatou Sissay, vice-Ministre sierra-léonaise du Tourisme et des Affaires Culturelles, Ana Trisic Babic, vice-Ministre des Affaires Etrangères de Bosnie-Herzégovine, Natalia Gherman, vice-Premier Ministre de Moldavie,atjana Josipovic, épouse du Président Croate, Malgorzuka Bonikowska, Présidente de Centre polonais des Relations Internationales, et bien d'autres Femmes.
Parmi les présentes à ce conclave on citera : Mesdames Hasbite Soulayman Al Boukhari, Présidente tchadienne du Groupe d'Amitié Parlementaire Tchad/Maroc, Paula Veronica Ferraris, Secrétaire d'Etat argentine chargée de la Coordination et de la Coopération Internationale, Marguerita Flores-Sanchez, Ministre méxicaine des Affaires Etrangères, Clarice Modeste-Curwen, Ministre des Affaires Etrangères de Grenade, Luisa Durau de la Fuente, épouse du Président chilien, Sounthane Xaya-Chack, Ministre laotienne des Affaires Etrangères, Aladji Boni Diallo Mariam, ex-Ministre des Affaires Etrangères et Conseillère Spéciale du Président béninois, Léontine Nzeyimama, Ministre de mla Communauté Est Africaine et de l'Intégration du Burundi, Michelle Beugre, Directrice Executive de l'Institut National des Administrateurs ivoirien, Doria Sharaf Al Dine, ex-Ministre égyptienne de l'Information, Kane Aïchatou Boulama, Ministre nigérienne des Affaires Etrangères, Amina Tall, Présidente du Conseil Economique, Social et environnemental du Sénégal, Khadijatou Sissay, vice-Ministre sierra-léonaise du Tourisme et des Affaires Culturelles, Ana Trisic Babic, vice-Ministre des Affaires Etrangères de Bosnie-Herzégovine, Natalia Gherman, vice-Premier Ministre de Moldavie,atjana Josipovic, épouse du Président Croate, Malgorzuka Bonikowska, Présidente de Centre polonais des Relations Internationales, et bien d'autres Femmes.
Cette réunion des femmes africaines, au cours de laquelle il a été débattu du rôle de la Femme Africaine sur les plans politique, économique et social, confirme qu'elles ont un rôle essentiel dans la société moderne et dans la gestion des affaires publiques et privées.
Ce formidable rendez-vous n'est que justice rendue à la Femme Africaine et une reconnaissance de sa place fondamentale au sein de son foyer en raison de sa bravoure et de sa témérité face aux difficultés quotidiennes mais également de son rôle actif et positif dans la société. C'est pourquoi, elle constitue le rouage essentiel du développement de l'Afrique et représente l'avenir du continent africain.
En effet, son rôle ne se limite plus à la seule gestion de son foyer et à la transmission de la culture et des traditions à ses enfants. Aujourd'hui, la Femme Africaine s'implique avec réussite au processus de négociation et de construction de la paix pour assurer l'essor du continent africain et se .place au premier rang des personnes engagées pour le développement en construisant des projets d'avenir pour son continent grâce à sa détermination dans de nombreux domaines, comme dans leur travail, leur quête du mieux être et la dignité.
Les Femmes africaines sont aujourd'hui présentes dans tous les secteurs économiques et nombre d'elles occupent de hautes fonctions dans l'administration. Ne sont-elles pas ministres, ambassadeurs, députés, leader de partis politiques, PDG, pilotes d'avions, officiers supérieurs ...etc. ?
Ce conclave des Femmes Africaines organisé à Dakhla par "Le Crans-Montana Forum" en partenariat avec l'UNESCO, est un hommage qui lui est rendu et une reconnaissance de sa place primordiale dans une société africaine en mouvement continu pour le progrès.
Oui ! La Femme Africaine n'a pas à rougir devant la Femme Occidentale ou à l'envier. Elle est plus respectée, elle a plus de droits et elle contribue efficacement au progrès de l'Afrique.
Que l'Europe se rappelle qu'elle a été libérée du joug nazi et reconstruite grâce, en grande partie, au courage et au labeur d'hommes africains venus d'Afrique ; des hommes africains enfantés et éduqués par des africaines.
A Dakhla, la parole a été donnée à la Femme Africaine et la Femme Africaine s'est imposée avec brio dans cette ville des provinces sahariennes marocaines.
La Femme Africaine, qu'elle soit noire, blanche, métissée, d'origine arabe, amazigh, asiatique, autochtone, de confession juive, chrétienne, musulmane, animiste, et de statut célibataire, mariée, divorcée, veuve ou autre, mérite tous les respects.
Les Africains sont fiers d'avoir des femmes de votre trempe. Ils vous remercient sincèrement pour votre participation active et efficace dans la construction d'une Afrique où vous avez sû conquérir la place qui, historiquement et socialement, vous revient de droit et qui assure un avenir serein aux enfants de ce continent.
Chapeau bas Mesdames les Africaines ! Dakhla la sahraouia marocaine vient de vous honorer en ce mois de mars qui fête la Journée de la Femme.
Ce 13 mars 2015 a été un jour de gloire pour la Femme Africaine, n'en déplaise aux algériens qui ont interdit à la Femme algérienne de venir à Dakhla pour débattre librement avec ses consoeurs africaines de son rôle et de son avenir dans la société.
Une honte et un déni de droit faits à la Femme algérienne. Les responsables algériens n'ont malheureusement toujours pas compris qu'ils portaient atteinte aux droits fondamentaux de leur grand-mère, de leur mère, de leurs soeurs et de leurs filles !
Farid Mnebhi.