Et si le Premier Bilan de Sambi à la tête du Parti Juwa, C’était l’acquisition de sa nationalité Française. Les sympathisants du parti...
Et si le Premier Bilan de Sambi à la tête du Parti Juwa, C’était l’acquisition de sa nationalité Française.
Les sympathisants du parti Juwa, bientôt, j’en suis convaincu, vont commencer à tourner le dos contre Ahmed Abdallah Sambi en apprenant sa nouvelle naturalisation française.
Je crains et voir je prédis qu’une future division au sein de ce parti n’est pas à écarter. Car avec les nouveaux papiers français, certains sympathisants se sentent déjà moralement piégés, idéologiquement trahis, et voir politiquement désemparés. Comment un parti se réclamant du peuple comorien, dont le premier objectif, défendre coûte que coûte les intérêts de l’État comorien, peut-il se laisser être dans la main d’un citoyen d’un pays, en l’occurrence la France, dont les intérêts se divergent avec ceux des Comores ? N’est-ce pas du mépris envers les électeurs du JUWA ?
Le silence de l’État-major du parti Juwa et Sambi lui-même, en dit long de ce qui pourrait être déjà une mésentente au sein de leur mouvement, suite à l’apparition de cette affaire de nationalité. Pourtant, la bouche bée, ça n’est pas ni dans la culture du leader du parti Juwa, ni de sa direction.
Peut-on commencer à parler déjà un malaise au sein des cadres de ce parti ? En effet, bientôt fini, le temps où on parlait du soleil qui brille partout. Aujourd’hui on est devant une obscurité, loin de la brillance, loin des caméras. Cette affaire de nationalité empêche le soleil de briller.
Les sympathisants du parti Juwa, bientôt, j’en suis convaincu, vont commencer à tourner le dos contre Ahmed Abdallah Sambi en apprenant sa nouvelle naturalisation française.
Je crains et voir je prédis qu’une future division au sein de ce parti n’est pas à écarter. Car avec les nouveaux papiers français, certains sympathisants se sentent déjà moralement piégés, idéologiquement trahis, et voir politiquement désemparés. Comment un parti se réclamant du peuple comorien, dont le premier objectif, défendre coûte que coûte les intérêts de l’État comorien, peut-il se laisser être dans la main d’un citoyen d’un pays, en l’occurrence la France, dont les intérêts se divergent avec ceux des Comores ? N’est-ce pas du mépris envers les électeurs du JUWA ?
Le silence de l’État-major du parti Juwa et Sambi lui-même, en dit long de ce qui pourrait être déjà une mésentente au sein de leur mouvement, suite à l’apparition de cette affaire de nationalité. Pourtant, la bouche bée, ça n’est pas ni dans la culture du leader du parti Juwa, ni de sa direction.
Peut-on commencer à parler déjà un malaise au sein des cadres de ce parti ? En effet, bientôt fini, le temps où on parlait du soleil qui brille partout. Aujourd’hui on est devant une obscurité, loin de la brillance, loin des caméras. Cette affaire de nationalité empêche le soleil de briller.
Les papiers français étaient-ils l’objectif politique final d’Ahmed Sambi, ou un tremplin pour lui, d’engager encore des humiliations contre le gouvernement de l’État Comorien ?
Aujourd’hui, il est de devoir pour tout patriote comorien, d’être vigilant pour protéger notre nation contre tous ceux qui voudront saboter notre pays au nom de leur possession de la nationalité française.
Houmadi Ahmed