POSE DE LA PREMIERE PIERRE DE L’HOTEL DE VILLE DE LA COMMUNE DE GNOUMA MDRO KIBLANE. Chacun a joué sa carte La pose de la première pierre...
POSE DE LA PREMIERE PIERRE DE L’HOTEL DE VILLE DE LA COMMUNE DE GNOUMA MDRO KIBLANE.
La pose de la première pierre de l’hôtel de ville de la commune de Gnoumaro Kiblani a eu lieu le mercredi dernier à Djomani (Mboudé). En présence du gouverneur de l’ile mais l’absence des notables influents de la région a été très remarqué.
De la manipulation aux mensonges, en passant par la corruption intellectuelle et morale, les états majors de la commune de GNOUMA MDRO KIBLANE chacun a joué sa carte pour tante avoir un électorat en mettant en arrière l’avenir de cette commune. Surtout que la jeunesse des 8 villages qui composent la commune est en dispersion. Mais des esprits perfides ont tenté de rallier certains notables en leur cause pour des fins électoraux bien qu’ils savent que l’avenir de cette commune est incertain.
Chacun a joué sa carte
La pose de la première pierre de l’hôtel de ville de la commune de Gnoumaro Kiblani a eu lieu le mercredi dernier à Djomani (Mboudé). En présence du gouverneur de l’ile mais l’absence des notables influents de la région a été très remarqué.
Le double discours de Moindjié wa Msoili
De la manipulation aux mensonges, en passant par la corruption intellectuelle et morale, les états majors de la commune de GNOUMA MDRO KIBLANE chacun a joué sa carte pour tante avoir un électorat en mettant en arrière l’avenir de cette commune. Surtout que la jeunesse des 8 villages qui composent la commune est en dispersion. Mais des esprits perfides ont tenté de rallier certains notables en leur cause pour des fins électoraux bien qu’ils savent que l’avenir de cette commune est incertain.
En premier ligne le maire sortant et candidat à sa propre succession qui a menti d’abord au gouverneur de l’ile de Ngazidja puis aux habitants de sa commune. Le maire candidat Moindjié Wa Msoili est allé dire au gouverneur de l’ile pour lui convaincre de venir poser la première pierre de l’hôtel de ville à Djomani en lui confirmant que la place Bandamadji qui est en discussion dans la commune, n’est plus à la disposition ni de la commune ni de la ville de Djomani. En somme, cette place n’est doit pas faire l’objet d’une discussion dans la commune. Avec une épreuve de la justice à la main (un jugement qu’il a fabriqué lui-même à la dernière minute pour servir à sa cause), il a justifié devant le gouverneur de l’ile ainsi que ces différents ne doit pas avoir lieu puisque la place en question n’est pas à la commune. Par conséquent, le gouverneur Mouigni Baraka a accepté de venir poser la première pierre de l’hôtel de ville dans la place qu’a choisit Djomani.
Mais à la surprise générale, ce maire candidat n’a pas pu y aller loin dans ses mensonges et ses manigances électoraux puisque dans son allocution de la cérémonie de pose de première pierre, il a annoncé que la commune a des projets des 4 citernes et des activités diverses agricoles dont il a signé avec certains cadre de Djomani qui doivent se faire dans cette place de Bandamadji dont le propriétaire par jugement est Sitty Hamadi Djoumoi et non la commune . Une annoncé qui a surpris tout le monde même le gouverneur de l’ile qui a crue à ses mensonges. Mais il reste à savoir là ou Moindjié wa Msoili veut en venir et à quel avenir veut-il donner à la commune. En tout l’histoire est là et la jugera.
Le double langage de Djomani
Toujours dans cette même circonstance, le chef lieu de la commune, qui a voulu coute que coute implanter l’hôtel de ville là ou il veut, a placé un couteau à double tranchant qui risque de faire mouche dans l’avenir proche de cette commune. D’abord, la ville de Djomani est allée dire au gouverneur de l’ile de Ngazidja qu’ils ne vont pas voter pour son candidat s’il n’implante pas l’hôtel de ville à Djomani puisqu’il a déjà construit un collège à Douniani. Alors que personne n’oppose la construction de cet hôtel à Djomani. Et comme il est assoiffé par le pouvoir, le gouverneur de l’ile de Ngazidja accepté sans détour la proposition de Djomani en échange d’avoir les 1.200 électeurs de la ville en faveur de son candidat d’Abass Mhadjou. Mais le problème qu’à soulever le gouverneur est le consentement des autres villages environnant qui se sont opposé à cet endroit. Et la ville de Djomani s’est donné l’obligation de jouer son joker dans cette affaire très compliquée. Alors c’est à partir de là que la ville de Djomani à changé de discours devant le village de Mandza.
Dans ce village, les djomaniens ont demandé leur soutien à la pose de la première pierre en échange de ses 1.300 électeurs en faveur de leur fils candidat Foundi Ali Hadji alors que ces 1.300 voix font déjà l’objet d’un compromis entre le gouverneur de l’ile et la ville de Djomani en faveur d’Abass Mhadjou. La ville de Mandza connu par son opposition aux autres villages Douniani, Koua et Hélendjé, a accepté l’offre de Djomani en les assurant de rallier les villages de Helendjé et Mdjoiezi à leur cause. Djomani a rappelé à Mandza que Douniani ne vous aime pas alors il ne faut pas compter sur lui pour élire Foundi Ali Hadji. Le village de Douniani est divisé par ce sujet puisque le chef du village a pris une décision personnelle pour participer à cette cérémonie que la totalité de la ville a boudée. A Helendjé, il y a eu aussi ceux qui dénoncent ces rouages et ont on refusé de suivre ce démarche. A Koua, la jeunesse s’oppose catégorique. Seulement deux notables ont pris part à la cérémonie avec une cotisation personnelle.
Alors, la pose de la première pierre a eu lieu belle est bien comme voulu mais l’avenir de cette commune surtout de la jeunesse de cette commune est incertain comme on la si bien dit. Moindjié wa Msoili manipulé et à menti à tout le monde pour espérer son élection ç la mairie le 22 février. Mais il reste à savoir ou ces manigances et ses manipulations vont amener ses initiateurs. Mais comme disait l’adage « qui vivra verra ». En tout cas le verdict et le rideau vont tomber le 22 février prochain.
Alors, la pose de la première pierre a eu lieu belle est bien comme voulu mais l’avenir de cette commune surtout de la jeunesse de cette commune est incertain comme on la si bien dit. Moindjié wa Msoili manipulé et à menti à tout le monde pour espérer son élection ç la mairie le 22 février. Mais il reste à savoir ou ces manigances et ses manipulations vont amener ses initiateurs. Mais comme disait l’adage « qui vivra verra ». En tout cas le verdict et le rideau vont tomber le 22 février prochain.
Par Nakidine Hassane
Titre : la rédaction
Image ©Ngazi Ngomé