Le traître d’Anisse se dévoile de plus en plus. Il a d’abord échoué à imposer ses candidats au parti JUWA à Anjouan. Les militants ne l’ent...
Le traître d’Anisse se dévoile de plus en plus. Il a d’abord échoué à imposer ses candidats au parti JUWA à Anjouan. Les militants ne l’entendent pas ainsi. La démocratie au niveau du parti, c’est le respect de la voix des militants. Mais il ne peut rien attendre de ces derniers, car ce petit potentat leur a tourné le dos depuis longtemps. Anisse a ainsi la phobie des primaires et dit qu’il ne faut pas trop de démocratie pour le parti arguant de sa jeunesse. Curieux argumentaire pour un homme de son rang et qui a passé deux mois à l’ENAM, haut lieu de l’apprentissage de la démocratie !
Il dit à qui veut l’entendre qu’il n’a pas été consulté en tant que vice-président du parti JUWA à Anjouan dans la désignation des candidats de celui-ci. Le traître n’a pas compris la nécessité de construire un parti assis sur des valeurs au lieu d’arrangements, des compromis sur le dos des citoyens. Il envoie ses propres candidats et tente de tricher avec l’étiquette du parti JUWA.
Il dit à qui veut l’entendre qu’il n’a pas été consulté en tant que vice-président du parti JUWA à Anjouan dans la désignation des candidats de celui-ci. Le traître n’a pas compris la nécessité de construire un parti assis sur des valeurs au lieu d’arrangements, des compromis sur le dos des citoyens. Il envoie ses propres candidats et tente de tricher avec l’étiquette du parti JUWA.
Il ne tarde pas à comprendre que cette mascarade ne passe pas. Du schisme politique sournois, le traître d’Anisse passe à la guerre ouverte contre le parti JUWA. En cela, il fait feu de tout bois, s’attache les services des gens de Mohamed Bacar qu’il cherche à remettre en scelle et œuvre activement pour le retour de celui-ci. Triste fin d’un traître qui ne sait plus comment agir, perd ses repères.
Il limoge ce jour quatre membres du parti JUWA. La réponse d’Ahmed Ben Said Djaffar, son directeur de cabinet et de Fahad Nassor, conseiller spécial à la diaspora ne se fait pas attendre. Ils ne peuvent pas cautionner les dérives et les incohérences de celui qui ne sait pas respecter les statuts, le règlement intérieur et le fonctionnement démocratique du parti JUWA, de celui qui s’allie avec les séparatistes pour essayer de se maintenir au pouvoir. Et aussi en solidarité avec les camarades limogés pour leur engagement en faveur du parti JUWA, ils présentent leur démission respectivement au poste de DIRCAB et de celui de conseiller spécial à la diaspora ce jour, dont voici copies.
Les choses ont le mérite d’être claires. Faute de pouvoir mettre le parti JUWA au service de ses intérêts et de sa clique, (on doit se rappeler qu’Anisse a même demandé à Ikililou, l’autre traître de venir tenir sa place), Anisse cherche la destruction de ce dernier. La félonie, arme redoutable d’Anisse, n’est plus un refuge pour lui, sa traîtrise est aujourd’hui confirmée et assumée…
La stratégie de schisme qu’il est chargé de mener à l’intérieur du parti JUWA par ses amis du pouvoir de l’Union, ne sera plus qu’un mauvais souvenir d’ici l’ouverture de la campagne. Il est utile de gagner avec des gens sûrs ou de perdre avec des gens sûrs ! Il faut penser maintenant à exclure dans les meilleurs délais le traître de la maison JUWA pour pouvoir construire sereinement et sûrement…
Photo.©Gouvernorat Ndzuwani
Documents ©Paul-Charles Delapeyre