En avril dernier, un vendeur de la boutique Unkut parisienne est passé à tabac. Rohff est mêlé à l'affaire et décide de se présenter de...
En avril dernier, un vendeur de la boutique Unkut parisienne est passé à tabac. Rohff est mêlé à l'affaire et décide de se présenter de lui-même aux forces de l'ordre. Aujourd'hui, le rappeur du 94 passe aux aveux mais minimise toutefois la portée de ses gestes.
Rohff est mêlé à une violente altercation qui a éclaté, en avril dernier, dans la boutique de son rival Booba, à Paris. Après les évènements, le papa de quatre enfants se rend de lui-même auprès des forces de l'ordre. Ce dernier est mis en examen puis incarcéré à Fresnes. Fin juin, il est libéré sous caution.
Si, au début de l'enquête, Housni Mkouboi a indiqué n'avoir mis qu'une "grande baffe" au vendeur passé à tabac, aujourd'hui sa version a évolué et se précise surtout : "Oui,
c'est vrai, j'ai mis des coups. Je ne vous ai pas dit la vérité parce
que je ne veux pas que l'on croit que ce sont ces coups qui ont mis
Papys (NDLR : le surnom de la victime) dans cet état."
Comme l'indiquent nos confrères du Parisien, c'est lorsqu'il visionne la vidéo de la caméra d'enregistrement que Rohff va alors reconnaitre avoir donné des coups de pieds : "Ce que vous voyez sur cette vidéo, on peut penser que c'est très violent, ce qui est vrai. Cependant, même si je lui donne des coups de poing et de pied, je ne l'ai jamais touché au visage, à part la gifle au départ. Je ne lui ai jamais donné un coup qui l'a éteint" a-t-il assuré.
Le principal continue de déclarer qu'il ne connait pas les personnes qui l'accompagnaient lors de cette altercation et tient à affirmer : "Il n'y avait aucune préméditation, c'était une bêtise spontanée."
IC - public.fr
Comme l'indiquent nos confrères du Parisien, c'est lorsqu'il visionne la vidéo de la caméra d'enregistrement que Rohff va alors reconnaitre avoir donné des coups de pieds : "Ce que vous voyez sur cette vidéo, on peut penser que c'est très violent, ce qui est vrai. Cependant, même si je lui donne des coups de poing et de pied, je ne l'ai jamais touché au visage, à part la gifle au départ. Je ne lui ai jamais donné un coup qui l'a éteint" a-t-il assuré.
Le principal continue de déclarer qu'il ne connait pas les personnes qui l'accompagnaient lors de cette altercation et tient à affirmer : "Il n'y avait aucune préméditation, c'était une bêtise spontanée."
IC - public.fr