LE PAYS VA MAL Le pays val, très mal dans tous les domaines : dans l'éducation, dans la justice, dans les sociétés d'Etat, ...
LE PAYS VA MAL
Le pays val, très mal dans tous les domaines : dans l'éducation, dans la justice, dans les sociétés d'Etat, dans l'armée voire même au marché. La vie est très chers, les prix des produits de premiers nécessité sont entre la terre et le ciel, le chômage continu d'augmenter, le problème d'électricité et d'eau est alarmant, Comores Télécom arnaque le peuple, la santé est malade, le détournement des fonds de l'Etat est devenu le sport national, la liste de tous les maux qui rongent notre pays est longue.
L'Etat est démissionnaire dans tous ces problèmes, nos gouvernants (des îles et de l'Union) sont incompétents, ils s'enrichissent par l'argent de l'Etat, ils ne pensent qu'à remplir leurs ventres et leurs poches alors que le peuple est à l'agonie. Mais quand la population comorienne va se réveiller ? Quand la population comorienne sera consciente de tous ces maux pour exiger une vie meilleure et stable ?
Je pense que le moment est venu de trousser les manches pour combattre les ennemis de la république, il est temps d'agir pour ouvrir et d'écrire une nouvelle page de l'histoire de notre pays, nous devons agir maintenant pour préparer un avenir meilleur pour les générations futures. Le développement d'un pays à un prix, nous devons être prêts à payer si vraiment nous voulons un pays brillant. Donc Il faut, avant qu'il ne soit trop tard, car il est déjà trop tard, que la population comorienne se réveillé comme celle de l'Egypte et de la Tunisie pour faire pression à nos gouvernants afin d'avoir une vie meilleur plus précisément une justice équitable.
Cette bataille est juridiquement légale et religieusement légitime, unissons-nous, le moment des sacrifices est venu. Nous devons chasser ces escroques dans nos festivités, dans nos mosquées, dans nos villes et village et pourquoi pas loin très loin de notre pays. Intellectuel, étudiants, syndicats, partis politique Unissons-nous, nous avons un ennemi commun : c'est nos dirigeants.
Par Ahmed Abdou