Premiers arrivés, premiers partis, c’était la matinée des premières fois dans la nouvelle aérogare de Mayotte. Le plaisir était unanime chez...
Premiers arrivés, premiers partis, c’était la matinée des premières fois dans la nouvelle aérogare de Mayotte. Le plaisir était unanime chez les voyageurs ce jeudi matin.
Huit heures et huit minutes. La sonnerie qui annonce la mise en route du tapis de bagages dans la zone d’arrivée retentit. Le premier vol du jour, le Corsair en provenance de Paris, s’est posé quelques minutes plus tôt et les premiers passagers ont déjà passé les contrôles d’identité. Ce jeudi 15 mai, la nouvelle aérogare de Mayotte prend vie.
Un petit couac, à peine perceptible, le tapis extérieur sur lequel circulent les valises, s’accorde deux petites minutes pour démarrer, et les premiers bagages sont récupérés. « Je suis très contente, témoigne une jeune mère de famille, un enfant dans les bras. Je ne savais pas que l’aérogare était déjà ouverte, c’est une bonne surprise. Et en plus, la première valise était la mienne ! »
« C’est la première fois que j’arrive à Mayotte dans des conditions aussi confortables », confie un autre voyageur.
Dans le vaste hall, comme nous l’annoncions hier, les commerces ont ouvert dès 5h30. Dans la file de l’enregistrement des vols matinaux, on profite de l’attente pour scruter les moindres détails du bâtiment. « C’est très beau, très spacieux et il y a vraiment une belle lumière avec le soleil du matin », relève un voyageur. « Je cherchais pourquoi je trouvais l’endroit très agréable et j’ai trouvé. D’habitude, dans les aéroports, on est assailli de publicités, il y en a partout. Et ici, il n’y en a pas. Ou peut-être pas encore, en tout cas c’est un grand confort pour les yeux. »
Les premiers colliers de fleurs de bienvenue d’un côté, les au revoir depuis l’escalator qui emmène dans la zone d’embarquement de l’autre, chacun prenait ses marques, avec un sourire aux lèvres.
Sur le parking, la passagère a rangé la première valise de la nouvelle aérogare dans le coffre de sa voiture. Le charriot à bagages lui a mangé sa pièce de monnaie. Cette fois, c’est sûr, Mayotte a un aéroport comme il en existe partout ailleurs.
RR
Le Journal de Mayotte
Huit heures et huit minutes. La sonnerie qui annonce la mise en route du tapis de bagages dans la zone d’arrivée retentit. Le premier vol du jour, le Corsair en provenance de Paris, s’est posé quelques minutes plus tôt et les premiers passagers ont déjà passé les contrôles d’identité. Ce jeudi 15 mai, la nouvelle aérogare de Mayotte prend vie.
Un petit couac, à peine perceptible, le tapis extérieur sur lequel circulent les valises, s’accorde deux petites minutes pour démarrer, et les premiers bagages sont récupérés. « Je suis très contente, témoigne une jeune mère de famille, un enfant dans les bras. Je ne savais pas que l’aérogare était déjà ouverte, c’est une bonne surprise. Et en plus, la première valise était la mienne ! »
« C’est la première fois que j’arrive à Mayotte dans des conditions aussi confortables », confie un autre voyageur.
Un vaste hall sans publicité
Dans le vaste hall, comme nous l’annoncions hier, les commerces ont ouvert dès 5h30. Dans la file de l’enregistrement des vols matinaux, on profite de l’attente pour scruter les moindres détails du bâtiment. « C’est très beau, très spacieux et il y a vraiment une belle lumière avec le soleil du matin », relève un voyageur. « Je cherchais pourquoi je trouvais l’endroit très agréable et j’ai trouvé. D’habitude, dans les aéroports, on est assailli de publicités, il y en a partout. Et ici, il n’y en a pas. Ou peut-être pas encore, en tout cas c’est un grand confort pour les yeux. »
Les premiers colliers de fleurs de bienvenue d’un côté, les au revoir depuis l’escalator qui emmène dans la zone d’embarquement de l’autre, chacun prenait ses marques, avec un sourire aux lèvres.
Sur le parking, la passagère a rangé la première valise de la nouvelle aérogare dans le coffre de sa voiture. Le charriot à bagages lui a mangé sa pièce de monnaie. Cette fois, c’est sûr, Mayotte a un aéroport comme il en existe partout ailleurs.
RR
Le Journal de Mayotte