Des chercheurs viennent de découvrir une molécule qui pourrait conduire à de nouveaux traitements contre le diabète de type 2. Elle s...
Des chercheurs viennent de découvrir une molécule qui pourrait conduire à de nouveaux traitements contre le diabète de type 2.
Elle s'appelle « 6bk ». Derrière ce nom peu engageant se cache pourtant une petite molécule qui pourrait bien donner naissance à de nouveaux traitements contre le diabète de type 2 .
Aux Comores, ils sont plus de 100 000 à être concernés par cette pathologie,sans le savoir ! Pendant des années, cette maladie reste « silencieuse », sans aucun symptôme. Résultat : le diagnostic est souvent établi avec cinq ou dix ans de retard. Il s'agit d'une maladie caractérisée par un taux de sucre dans le sang trop élevé : chez les diabétiques, l'insuline, une hormone secrétée par le pancréas, ne joue pas son rôle régulateur de la glycémie. Le risque ? Des dysfonctionnements cardiovasculaires, des insuffisances rénales, voire la perte de la vue.
Le traitement contre le diabète de type 2 consistait jusqu'ici en des injections d'insuline quotidiennes pour les malades. Mais une récente étude publiée dans la revue scientifique Nature pourrait bien changer les choses : des chercheurs viennent en effet de découvrir une nouvelle molécule, baptisée 6bk, qui pourrait avoir son importance dans le cadre des traitements antidiabétiques. Son rôle ? Bloquer l'action de l'IDE (pour insulin-degrating enzyme), une enzyme qui bloque l'action de l'insuline et l'empêche donc de réguler la glycémie.
Testée sur des souris, cette molécule s'est révélée efficace : les rongeurs atteints de diabète de type 2 se sont vus offrir une dose de 6bk, puis une dose de sucre. Résultat : débloquée, leur insuline a correctement joué son rôle de régulateur glycémique…
Une découverte qui, à terme, pourrait donner naissance à de nouveaux traitements contre le diabète de type 2. Avec topsante.com
Elle s'appelle « 6bk ». Derrière ce nom peu engageant se cache pourtant une petite molécule qui pourrait bien donner naissance à de nouveaux traitements contre le diabète de type 2 .
Aux Comores, ils sont plus de 100 000 à être concernés par cette pathologie,sans le savoir ! Pendant des années, cette maladie reste « silencieuse », sans aucun symptôme. Résultat : le diagnostic est souvent établi avec cinq ou dix ans de retard. Il s'agit d'une maladie caractérisée par un taux de sucre dans le sang trop élevé : chez les diabétiques, l'insuline, une hormone secrétée par le pancréas, ne joue pas son rôle régulateur de la glycémie. Le risque ? Des dysfonctionnements cardiovasculaires, des insuffisances rénales, voire la perte de la vue.
Le traitement contre le diabète de type 2 consistait jusqu'ici en des injections d'insuline quotidiennes pour les malades. Mais une récente étude publiée dans la revue scientifique Nature pourrait bien changer les choses : des chercheurs viennent en effet de découvrir une nouvelle molécule, baptisée 6bk, qui pourrait avoir son importance dans le cadre des traitements antidiabétiques. Son rôle ? Bloquer l'action de l'IDE (pour insulin-degrating enzyme), une enzyme qui bloque l'action de l'insuline et l'empêche donc de réguler la glycémie.
Testée sur des souris, cette molécule s'est révélée efficace : les rongeurs atteints de diabète de type 2 se sont vus offrir une dose de 6bk, puis une dose de sucre. Résultat : débloquée, leur insuline a correctement joué son rôle de régulateur glycémique…
Une découverte qui, à terme, pourrait donner naissance à de nouveaux traitements contre le diabète de type 2. Avec topsante.com