Lumière sur les troubles de la fertilité ! Des chercheurs américains viennent de mettre le doigt sur l’une des origines de la stérilité. Hyp...
Lumière sur les troubles de la fertilité ! Des chercheurs américains viennent de mettre le doigt sur l’une des origines de la stérilité. Hypothèse ? Des femmes de petit gabarit à la naissance auraient 2,5 fois plus de difficulté à devenir mère à l’âge adulte.
Après le mode de vie et la santé des femmes, des chercheurs britanniques sont remontés à des données bien plus anciennes pour mieux comprendre l’origine des troubles de la fertilité féminine : la taille et le poids à la naissance.
« Les nourrissons de sexe féminin, de petite taille et/ou en deçà des courbes de poids, présentent 2,5 fois plus de risque de rencontrer des problèmes de fertilité à l’âge adulte », expliquent les auteurs de travaux publiés dans le British Medical Journal. Pour le prouver, l’équipe du Dr Josefin Vilström (Université de Linköping, Suède) a suivi 1 206 filles nées à partir de 1973 en Suède. Puis les ont retrouvées à l’âge adulte. Elles ont été réparties dans deux groupes : les participantes fertiles d’une part, « puis les femmes qui ne pouvaient pas avoir d’enfant d’autre part».
Les causes de l’infertilité ont d’abord été diagnostiquées chez les deux membres du couple. « Ainsi les 6% de femmes nées prématurées connaissaient toutes des difficultés pour avoir un enfant. Une explication ? « Dans le ventre de la mère, la formation des organes génitaux seraient directement touchée par cette croissance ralentie ».
Peut-on espérer un nouveau traitement stimulant la croissance du nourrisson ? Et ainsi apporter une nouvelle avancée pour l’assistance médicale à la procréation ? Patience, « c’est la première fois que des travaux de la sorte sont menés », cautionnent les chercheurs. « Il faudra effectuer d’autres études pour confirmer cette incidence entre une légère prématurité du nourrisson et le risque d’infertilité à l’âge adulte ».
Après le mode de vie et la santé des femmes, des chercheurs britanniques sont remontés à des données bien plus anciennes pour mieux comprendre l’origine des troubles de la fertilité féminine : la taille et le poids à la naissance.
« Les nourrissons de sexe féminin, de petite taille et/ou en deçà des courbes de poids, présentent 2,5 fois plus de risque de rencontrer des problèmes de fertilité à l’âge adulte », expliquent les auteurs de travaux publiés dans le British Medical Journal. Pour le prouver, l’équipe du Dr Josefin Vilström (Université de Linköping, Suède) a suivi 1 206 filles nées à partir de 1973 en Suède. Puis les ont retrouvées à l’âge adulte. Elles ont été réparties dans deux groupes : les participantes fertiles d’une part, « puis les femmes qui ne pouvaient pas avoir d’enfant d’autre part».
Poids plume et petite taille
Les causes de l’infertilité ont d’abord été diagnostiquées chez les deux membres du couple. « Ainsi les 6% de femmes nées prématurées connaissaient toutes des difficultés pour avoir un enfant. Une explication ? « Dans le ventre de la mère, la formation des organes génitaux seraient directement touchée par cette croissance ralentie ».
Peut-on espérer un nouveau traitement stimulant la croissance du nourrisson ? Et ainsi apporter une nouvelle avancée pour l’assistance médicale à la procréation ? Patience, « c’est la première fois que des travaux de la sorte sont menés », cautionnent les chercheurs. « Il faudra effectuer d’autres études pour confirmer cette incidence entre une légère prématurité du nourrisson et le risque d’infertilité à l’âge adulte ».